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La crise de 2011 a été un tournant dans la guerre monétaire, financière et économique menée de main de maître par le casino financier mondial.
Jusqu’où va la liberté de la BNS de sélectionner les informations d’une part et de refuser des motions d’autres part malgré la médiocrité de ses performances?
Un gigantisme architectural à l’image de l’ambition de leur message « Deutsche is clear: We are here to perform- in business and beyond »
Nous baignons depuis quelques mois dans des menaces-chantages de confiscation de nos comptes bancaires ainsi que de ceux de nos prestataires de prévoyance sociale tels que les caisses de pension, assureurs, assurances-vieillesse etc.
source de la photo: les-crises.fr
De négociations en négociations, la crise grecque nous tient en haleine depuis de nombreuses semaines. Pourtant hier soir le parlement grec a validé l’accord que M Tsipras aurait présenté aux partenaires européens et autres FMI. Accord 100% en faveur de l’industrie financière transnationale.
Pourtant le peuple avait voulu croire en M Tsipras. Son initiative pour la tenue d’un référendum a créé de l’espoir au-delà des frontières grecques. On a voulu y croire. Mais non M Tsipras se rend et il a fait se rendre avec lui toutes les petites gens qui ont lié leur sort à sa capacité de négociateur. A sa capacité de tenir ses promesses électorales.
Mais M Tsipras n’est pas la bonne personne. Nous l’avions déjà supposé à la lecture de son programme de finjuin. Aucune surprise donc. Portant le malaise grandit toujours plus dans le coeur des peuples. Et pas que des petits retraités. Les politiciens de tout bord semblent briller par leur impuissance. Le rôle tenu par la gauche malmenée aujourd’hui en Grèce mais hier en France et avant-hier ailleurs montre bien que la pseudo division droite-gauche a fait long feu et qu’aujourd’hui la réalité est ailleurs. Au-delà de la scène…