Autres articles
Bientôt soignés par la réalité virtuelle ? La vidéo du week-end
Et si la BNS faisait faillite?

Le sauvetage de la planète passe-t-il par l’anxiété et l’eugénisme?
Fin des libertés. Nous alimentons l’hydre numérique, avec le risque de nous faire traiter de terroristes. LHK
Injecter du souffre dans la stratosphère. Les millions des Gates en action. Compilation
« La notion de développement durable implique certes des limites. Il ne s’agit pourtant pas de limites absolues mais de celles qu’imposent l’état actuel de nos techniques et de l’organisation sociale ainsi que de la capacité de la biosphère de supporter les effets de l’activité humaine.»
Rapport Brudtland sur le développement durable (1987)
Brillante réflexion sur l’ultra-classe parisienne. Le groupe Plessis/L’Incorrect

Dans la Grèce antique, du point de vue juridique, l’hybris désignait un acte transgressif violent considéré comme un crime. Cette notion recouvrait des violations comme les voies de fait, les agressions sexuelles et le vol de propriété publique ou sacrée1. On en trouve deux exemples bien connus : les deux discours de Démosthène, Contre Midias et Contre Conon, plaidoyer portant sur l’accusation publique pour « outrages » (γραφὴ ὕβρεως / graphḕ húbreōs). Du point de vue philosophique et moral, c’est la tentation de démesure ou de folie imprudente des humains, tentés de rivaliser avec les dieux. Ceci vaut en général, dans la mythologie grecque, de terribles punitions de leur part. (…) La religion grecque antique ignore la notion de péché tel que le conçoit le christianisme. En effet, les Grecs n’imaginaient pas qu’un dieu puisse se préoccuper de ce qu’ils pensaient dans le secret de leur âme : « […] nul enseignement, nulle doctrine susceptibles de donner à cette participation affective d’un moment, assez de cohésion, de consistance et de durée pour l’orienter vers une religion de l’âme6. » (Wikipédia)
Vaccination hybride ARNm ET ADN autorisée en Grande Bretagne. New York Times
La Grande-Bretagne a franchi un autre pas de géant lundi dans la lutte contre le COVID 19, en intensifiant son programme de vaccination à partir d’un vaccin créé par l’Université d’Oxford et le géant pharmaceutique AstraZeneca. Le patient dialysé Brian Pinker, 82 ans, a été le premier à se faire vacciner. Il a qualifié l’expérience de « brillante ». Le vaccin Oxford-AstraZeneca est moins cher et plus facile à utiliser que le vaccin de Pfizer car il ne nécessite pas de stockage très froid.
Le coup d’Etat planétaire, version Catherine Austin Fitts
La gouvernance globale est déjà là. Le virus l’a légitimée.
