L’Ordinateur biologique, une machine vivante? Apocalypse 4.0

Le réseau neuronal biologique a été conçu à partir de cellules embryonnaires de rongeurs ou de cellules souches humaines pluripotentes induites (hiPSC). Les cellules ont été cultivées au sein d’un réseau multiélectrodes à haute densité et ont pu démontrer avec succès une intelligence biologique. En effet, le réseau de microélectrodes était à la fois capable de lire les activités des cellules et de stimuler celles-ci à l’aide de signaux électriques.
Dans son ensemble, le système tire parti d’une propriété inhérente aux neurones à partager « un langage » d’activité électrique, permettant de
relier le système en silicium au réseau de cellules vivantes par le biais de stimulations et d’enregistrements électrophysiologiques. https://trustmyscience.com/puce-destinee-ia-base-neurones-biologiques-integres-subvention-militaire/?fbclid=IwAR1W0tobLwGJ5ylGvmYDCL6eK-gWfoCSNPF1DAMaGjyQuMCDHk0Y2Brlv3Q

L’ordinateur organique a le vent en poupe.

Ce février 2023, des scientifiques dévoilent un plan pour fabriquer des ordinateurs à partir des mêmes matériaux que ceux qui alimentent le cerveau humain.

Dans un article de The independent, Andrew Griffon nous explique que les développeurs informatiques ont essayé d’imiter le fonctionnement et les performances du cerveau humain. Sans succès. Le énième échec dans cette quête désespérée de copier la vie. Le hasard qui a permis à la théorie de l’évolution d’advenir semble bien plus efficace et intelligent que les scientifiques les mieux payés de l’histoire de l’humanité.

Les échecs des expériences de Biosphère I et II sont là pour en témoigner, tout comme le cinglant constat que l’IA n’existe pas dans les faits.

Pas d’IA forte sans connecter les cerveaux humains. 

Bref, copier la nature ne suffit pas. Il faut aller se servir dans son matériel pour espérer faire poursuivre la célèbre évolution darwinienne. Dans notre cas, les chercheurs vont piocher dans des collections tridimensionnelles de cellules cérébrales pour se rapprocher de ce que le journaliste lui-même appelle un « rêve ».

Ce nouveau domaine s’appelle Intelligence organoïde.

The independent
Les ordinateurs ont des capacités de calcul plus importantes que les nôtres, mais ils sont bien plus gourmands en énergie. Pour réaliser un calcul de 1 exaflop, il faut un superordinateur de 21 mégawatts. Un cerveau humain peut faire le même calcul, avec seulement 20 watts. Humain 1, machine 0. C’est en partant de ce constat que des chercheurs de l’université américaine Johns-Hopkins ont lancé en février un appel dans Frontiers of Science pour développer des machines à base de neurones vivants. Des bio-ordinateurs en quelque sorte. Dans son dernier numéro, Sciences et Avenir fait état de ce nouveau champ de recherche fascinant appelé « intelligence organoïde ». L’idée est de développer une nouvelle forme d’intelligence artificielle, qui repose sur les performances des neurones. 
Pour ce faire, des scientifiques développent des organoïdes, c’est-à-dire des structures cellulaires en trois dimensions cultivées en laboratoire à partir de cellules souches. Ces structures mélangent des neurones et d’autres cellules soutiens. Des puces leur envoient des signaux électriques afin qu’ils opèrent des calculs, puis leurs réponses sont renvoyées, avant d’être analysées par une intelligence artificielle. Les scientifiques imaginent faire fonctionner ces organoïdes en réseau pour mimer le fonctionnement du cerveau, sans en recréer toutefois l’entière complexité. https://www.ladn.eu/tech-a-suivre/apres-lintelligence-artificielle-voici-lintelligence-organoide-a-base-de-vrais-neurones/

Les résultats d’une étude collaborative a été publiée récemment. Elle est analysée tout en bas de page par une professeure de Oxford dont le papier a été repris par le site du WEF. Voici quelques points-clés de la publication source:

Intelligence organoïde (OI) : la nouvelle frontière de la bioinformatique et de l’intelligence sur assiette

https://www.frontiersin.org/journals/science/articles/10.3389/fsci.2023.1017235/full

Les progrès récents dans les organoïdes cérébraux dérivés de cellules souches humaines promettent de reproduire des aspects moléculaires et cellulaires critiques de l’apprentissage et de la mémoire et éventuellement des aspects de la cognition in vitro. Inventant le terme « intelligence organoïde » (OI) pour englober ces développements, nous présentons un programme collaboratif pour mettre en œuvre la vision d’un domaine multidisciplinaire de l’OI. 

Cela vise à établir l’OI comme une forme de véritable informatique biologique qui exploite les organoïdes cérébraux en utilisant les avancées scientifiques et de la bio-ingénierie d’une manière éthiquement responsable. (…)

Nous envisageons des interfaces complexes et en réseau dans lesquelles les organoïdes cérébraux sont connectés à des capteurs et des dispositifs de sortie du monde réel, et finalement entre eux et avec des organoïdes d’organes sensoriels (par exemple, des organoïdes rétiniens), et sont formés à l’aide de biofeedback, d’entreposage de données volumineuses et de méthodes d’apprentissage automatique. En parallèle, nous mettons l’accent sur une approche éthique intégrée pour analyser les aspects éthiques soulevés par la recherche en IO de manière itérative et collaborative impliquant toutes les parties prenantes concernées. Les nombreuses applications possibles de cette recherche incitent au développement stratégique de l’OI en tant que discipline scientifique. (…)

  • L’informatique biologique (ou bioinformatique) pourrait être plus rapide, plus efficace et plus puissante que l’informatique à base de silicium et l’IA, et ne nécessiter qu’une fraction de l’énergie.
  • «L’intelligence organoïde» (OI) décrit un domaine multidisciplinaire émergent travaillant au développement de l’informatique biologique à l’aide de cultures 3D de cellules cérébrales humaines (organoïdes cérébraux) et de technologies d’interface cerveau-machine.
  • L’OI nécessite de transformer les organoïdes cérébraux actuels en structures 3D complexes et durables enrichies de cellules et de gènes associés à l’apprentissage, et de les connecter à des dispositifs d’entrée et de sortie de nouvelle génération et à des systèmes d’apprentissage automatique/IA.
  • L’OI nécessite de nouveaux modèles, algorithmes et technologies d’interface pour communiquer avec les organoïdes cérébraux, comprendre comment ils apprennent et calculent, et traiter et stocker les quantités massives de données qu’ils vont générer.
  • La recherche sur l’IO pourrait également améliorer notre compréhension du développement du cerveau, de l’apprentissage et de la mémoire, aidant potentiellement à trouver des traitements pour les troubles neurologiques tels que la démence.
  • Veiller à ce que l’IO se développe d’une manière éthiquement et socialement responsable nécessite une approche « éthique intégrée » où des équipes interdisciplinaires et représentatives d’éthiciens, de chercheurs et de membres du public identifient, discutent et analysent les questions éthiques et les renvoient pour éclairer les recherches et les travaux futurs.

Malgré les échecs répétés et les limitations de l’humain à vouloir se mesurer à la Vie, Thomas Hartung de la Johns Hopkins University (gestionnaire de la crise covid) ne désespère pas. Il assure qu’une nouvelle ère de bioinformatique performante, rapide, sûre et efficace s’ouvre à nous.

Et pourquoi donc tout cet acharnement ?

En fait, ces chercheurs atteignent les limites physiques des ordinateurs car ils ne peuvent plus intégrer plus de transistors dans une minuscule puce. La loi de Moore , qui stipule que le nombre de transistors pouvant être placés sur une puce de silicium est doublé environ tous les deux ans, a servi d’objectif pour l’industrie pendant des décennies, mais comme la taille des ordinateurs continue de diminuer, la capacité de répondre à cet objectif est devenue plus difficile, menaçant d’atteindre un plateau. Et ça, les champions en quête de performances et de records n’aiment pas.

Les capacités biologiques d’un cerveau et celles synthétiques d’une machine sont incomparables. Le cerveau biologique compte 100 milliards de neurones reliés par plus de 1015 points de connexion, et peut stocker 2’500 To[1], alors que les organoïdes cérébraux n’ont que 50’000 cellules… Légère différence.

Et comme on a fait lever les contraintes légales et éthiques, et donc bio-éthiques, on a tout loisir de créer des chimères pour fabriquer ces nouveaux ordinateurs portant le nom de wetware, cerveau organique artificiel ou neuro-ordinateur.[2]

De son côté, Elon Musk de Neuralink tente de développer la puce à implanter directement dans le cerveau. Il faut reconnaître que cela simplifierait drôlement le développement du wetware. Toutefois dans un énième flop, les cobayes de l’un des hommes les plus riches de la terre décèdent. Inexorablement. Cela ne l’empêche pas de demander à la FDA une autorisation pour passer à l’humain. Après avoir reçu un refus, la FDA l’a tout de même finalement autorisé à tester sa création sur l’humain.

Remarquez c’est la logique qui a prévalu lors des injections expérimentales sur la population mondiale.

Depuis quelques années, nous sommes en effet contraints de constater que, sans aucun tabou, l’humain est devenu une marchandise. Et depuis les vaccins anti-covid, les cobayes humains non volontaires de BigPharma ne sont plus uniquement en Afrique ou en Inde, mais aussi sous les cieux de l’Occident qui se prétendait encore récemment donneur de leçons en matière de Droits de l’homme et de libertés individuelles.

Une expérimentation grandeur village planétaire a eu lieu sans qu’aucune voix dissonnante n’ait réussi à se faire entendre du grand public. La planète a muté depuis 2020 en laboratoire géant, et cela est on ne peut plus officiel. Grâce à la fabrication du consentement, très peu de gens ont réussi à résister au déferlement de la campagne de vaccination anti-covid, et aux mesures coercitives qui l’ont accompagnée.

Le but de cette expérimentation est de tester de nouvelles nanotechnologies pour permettre un jour de révolutionner la santé de ceux qui pilotent la machine à gouverner la planète. Et eux ne vivent pas dans la noosphère de Teilhard (car non les big boss ne seront pas prisonniers du doux nuage piloté par une force Amour qui nous connecterait au Point Oméga à un Christ cosmique dont l’esprit est issu de la matière divinisée).

Le Christ cosmique est une foutaise théologique grandeur cosmique. Ou Christ existe et on écoute son message qui n’a rien à voir avec une quelconque Singularité technologique d’un Kurzweil et autre Point Oméga, de Teilhard et de ses disciples eugénistes, ou on n’y croit pas et le Christ cosmique est un faux Christ. Il serait alors obligatoirement l’Antichrist qui égare le monde avec des paroles séductrices sur l’amour universel, etc. etc. etc. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC10083267/

La réalité est devant nous. Nous sommes en tant qu’humains victimes d’une guerre informationnelle menée par des individus eugénistes (nous y reviendrons), soit pour réaliser des utopies générées par des esprits perturbés, soit parce qu’ils sont hautement attirés par le business des potentialités véhiculées par les organes corporels et la vie.

LHK

Annexe

Qu’est-ce qu’un ordinateur organique ?[3] La définition du World Economic Forum

Nous imaginons invariablement que les appareils électroniques soient fabriqués à partir de puces de silicium, avec lesquelles les ordinateurs stockent et traitent les informations sous forme de chiffres binaires (zéros et uns) représentés par de minuscules charges électriques.

Mais il n’est pas nécessaire qu’il en soit ainsi : parmi les alternatives au silicium figurent des milieux organiques tels que l’ADN.

L’informatique ADN a été démontré pour la première fois en 1994 par Leonard Adleman qui a codé et résolu le problème du voyageur de commerce, un problème mathématique pour trouver l’itinéraire le plus efficace qu’un vendeur puisse emprunter entre des villes hypothétiques, entièrement en ADN.

L’acide désoxyribonucléique, l’ADN, peut stocker de grandes quantités d’informations codées sous forme de séquences de molécules, appelées nucléotides, cytosine (C), guanine (G), adénine (A) ou thymine (T). La complexité et l’énorme variance des codes génétiques des différentes espèces démontrent la quantité d’informations pouvant être stockées dans l’ADN codé à l’aide de CGAT, et cette capacité peut être utilisée dans l’informatique. Les molécules d’ADN peuvent être utilisées pour traiter l’information, en utilisant un processus de liaison entre les paires d’ADN connu sous le nom d’hybridation. Cela prend des brins d’ADN simples en entrée et produit des brins d’ADN ultérieurs par transformation en sortie.

Depuis l’expérience d’Adleman, de nombreux « circuits » basés sur l’ADN ont été proposés qui mettent en œuvre des méthodes de calcul telles que la logique booléenne, les formules arithmétiques et le calcul des réseaux de neurones. Appelée programmation moléculaire, cette approche applique des concepts et des conceptions habituels à l’informatique à des approches à l’échelle nanométrique appropriées pour travailler avec l’ADN.

En ce sens, la « programmation » est vraiment de la biochimie. Les « programmes » créés sont en fait des méthodes de sélection de molécules qui interagissent de manière à obtenir un résultat spécifique grâce au processus d’auto-assemblage de l’ADN, où des collections désordonnées de molécules interagiront spontanément pour former l’arrangement souhaité de brins d’ADN.

« Robots » à ADN

L’ADN peut également être utilisé pour contrôler le mouvement, permettant des dispositifs nanomécaniques à base d’ADN. Cela a été réalisé pour la première fois par Bernard Yurke et ses collègues en 2000, qui ont créé à partir de brins d’ADN une paire de pincettes qui s’ouvraient et se pinçaient. Des expériences ultérieures telles que celles de Shelley Wickham et de ses collègues en 2011 et au laboratoire d’Andrew Turberfield à Oxford  ont démontré des machines de marche nano-moléculaires entièrement fabriquées à partir d’ADN qui pouvaient parcourir des itinéraires définis.

Une application possible est qu’un tel marcheur d’ADN nano-robot pourrait progresser le long des pistes en prenant des décisions et signaler lorsqu’il atteint la fin de la piste, indiquant que le calcul est terminé. Tout comme les circuits électroniques sont imprimés sur des circuits imprimés, les molécules d’ADN pourraient être utilisées pour imprimer des pistes similaires disposées en arbres de décision logiques sur une tuile d’ADN, avec des enzymes utilisées pour contrôler la décision se ramifiant le long de l’arbre, obligeant le marcheur à prendre une piste ou une autre. .

Les marcheurs d’ADN peuvent également transporter une cargaison moléculaire et pourraient donc être utilisés pour administrer des médicaments à l’intérieur du corps.

Pourquoi le calcul ADN ?

Les nombreuses caractéristiques attrayantes des molécules d’ADN incluent leur taille (largeur de 2 nm), leur programmabilité et leur capacité de stockage élevée, bien supérieure à leurs homologues en silicium. L’ADN est également polyvalent, bon marché et facile à synthétiser, et le calcul avec l’ADN nécessite beaucoup moins d’énergie que les processeurs électriques au silicium.

Son inconvénient est la rapidité : il faut actuellement plusieurs heures pour calculer la racine carrée d’un nombre à quatre chiffres, ce qu’un ordinateur traditionnel pourrait calculer en un centième de seconde. Un autre inconvénient est que les circuits ADN sont à usage unique et doivent être recréés pour exécuter à nouveau le même calcul.

Le plus grand avantage de l’ADN par rapport aux circuits électroniques est peut-être qu’il peut interagir avec son environnement biochimique. L’informatique avec des molécules implique de reconnaître la présence ou l’absence de certaines molécules, et donc une application naturelle de l’informatique ADN est d’apporter une telle programmabilité dans le domaine de la biodétection environnementale, ou de délivrer des médicaments et des thérapies à l’intérieur d’organismes vivants.

Les programmes ADN ont déjà été utilisés à des fins médicales, comme le diagnostic de la tuberculose . Une autre utilisation proposée est un « programme » nanobiologique d’Ehud Shapiro de l’Institut Weizmann des sciences en Israël, appelé le  » médecin dans la cellule  » qui cible les molécules cancéreuses. D’autres programmes ADN pour des applications médicales ciblent les lymphocytes (un type de globules blancs), qui sont définis par la présence ou l’absence de certains marqueurs cellulaires et peuvent donc être naturellement détectés avec une logique booléenne vrai/faux. Cependant, des efforts supplémentaires sont nécessaires avant de pouvoir injecter des médicaments intelligents directement dans des organismes vivants .

L’avenir de l’informatique ADN

Pris au sens large, le calcul de l’ADN a un potentiel futur énorme. Son énorme capacité de stockage, son faible coût énergétique, sa facilité de fabrication qui exploite la puissance de l’auto-assemblage et son affinité facile avec le monde naturel sont une porte d’entrée vers l’informatique à l’échelle nanométrique, éventuellement grâce à des conceptions qui intègrent à la fois des composants moléculaires et électroniques. 

Depuis sa création, la technologie a progressé à grande vitesse, fournissant des diagnostics au point de service et des médicaments intelligents de preuve de concept – ceux qui peuvent prendre des décisions diagnostiques sur le type de thérapie à administrer.

Il y a bien sûr de nombreux défis à relever pour que la technologie puisse passer de la preuve de concept à de véritables médicaments intelligents : la fiabilité des marcheurs d’ADN, la robustesse de l’auto-assemblage de l’ADN et l’amélioration de l’administration des médicaments. Mais un siècle de recherche traditionnelle en informatique est bien placé pour contribuer au développement de l’informatique ADN grâce à de nouveaux langages de programmation, des abstractions et des techniques de vérification formelle – des techniques qui ont déjà révolutionné la conception de circuits en silicium et peuvent aider à lancer l’informatique organique sur la même voie.

Cet article est publié en collaboration avec The Conversation . La publication n’implique pas l’approbation des points de vue par le Forum économique mondial.

Auteur : Marta Kwiatkowska est professeur de systèmes informatiques à l’Université d’Oxford.


[1] https://news-yahoo.com/scientists-reveal-plan-computers-brain

[2] Wikipédia

[3] https://www-weforum.org/agenda/2015/09/what-are-organic-computers/?

[4] Marta Kwiatkowska, Université d’Oxford pour le WEF https://www.weforum.org/agenda/2015/09/what-are-organic-computers/

DOSSIER

Apocalypse 4.0

Ou Comment la révolution technologique 4.0 est en train de détruire le Vivant

La noosphère, le nuage de pensées qui doit alimenter le cerveau du Léviathan.

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3 réflexions sur “L’Ordinateur biologique, une machine vivante? Apocalypse 4.0

  1. Le mythe du monstre du docteur Frankenstein revisité et amplifié. Le singe de Dieu.
    Des individus eugénistes et messianiques, Si ce cauchemar s’arrête un jour ça fera un scénario extraordinaire pour un film ou un livre.
    De toute façon, on connaît bien maintenant les différents acteurs qui nous pourrissent la vie depuis quelques années.
    Ceci amène à se poser cette question : qu’est -ce qu’on vient faire sur terre, arène ou zone de combat perpétuel ?
    Finalement un peu comme sur l’ile du docteur Moreau en finissant par les chasses du comte Tzaroff ?
    Gardons le moral surtout…

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