Confinement: Vous paieriez bien la facture ET l’enrichissement de ses promoteurs?

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Le confinement de 2020 est très certainement un gros hold-up signé par ses gagnants. Attention, il n’est pas question ici de dire qu’il n’y a pas eu de virus. Je suis convaincue qu’il y a eu une épidémie dès novembre 2019, avec très probablement un pic en février. Nous n’avons pas été alertés à temps de sa présence et beaucoup de gens ont énormément souffert par manque de diagnostic adéquat, et par manque de soutien des autorités sanitaires.

Après nous avoir mis le matériel de protection hors de portée en nous expliquant qu’ils étaient inutiles, les mêmes sont revenus après le gros de l’épidémie pour imposer un confinement surréaliste. Aujourd’hui, ils nous remettent à Apple et Google pour nous faire mettre sous surveillance permanente. Nos données seront confiés aux bons soins des bio-technocrates de la Sillicon Valley. La Cognitive city de M Gates se chargera du reste. https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/05/largent-des-gates-infiltre-notre-environnement/

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Le gros problème du confinement est que ses instigateurs en sont les principaux bénéficiaires. Leurs entreprises sont les seules à avoir pu continuer de travailler alors que les PME étaient pourchassées par la police. Ainsi une couturière de Lausanne ne pouvait se rendre dans sa boutique pour travailler seule, alors que les employés des entrepôts de Amazon pouvaient non seulement continuer leur activité, mais ont récupéré le business du petit commerce de quartier. Idem pour les grandes surfaces qui ont pu poursuivre leurs activités dans des lieux fermés, alors que les maraîchers ne pouvaient liquider leur production dans des lieux à ciel ouvert.

Aidé par des politiques iniques, l’adage « le malheur des uns fait le bonheur des autres » n’a jamais été si vrai. Cette phrase devenue banale au fil des années couvre aujourd’hui une réalité toujours plus problématique, pour ne pas dire dramatique.

La double spirale

Nous avons au fil de nos travaux développé le concept de la double spirale. La première est ascendante, et bénéficiant aux seigneurs de la création monétaire, et l’autre descendante péjorant les conditions de vie de l’essentiel de l’humanité lestée d’un fardeau ingérable de dettes.

Cette double spirale est très importante à comprendre. Les deux spirales s’alimentant l’une l’autre à cause de la création privée de monnaie-dette. Plus vous- vous/votre entreprise/votre région/votre pays- vous endettez, et plus vous vous engagez à garantir de la monnaie fraîchement créée dont bénéficieront les élus de la première spirale.

A travers cet engagement, vous liez durablement votre vie à celle des seigneurs de la monnaie. Lorsque les dettes deviennent impossibles à rembourser, c’est votre vie et celle de votre descendance qui sont engagées.

Bien évidemment que la double spirale ne fut, et n’est, possible que parce que vos dirigeants l’ont acceptée, et ont mis les institutions au pas. Evidemment les lobbyistes ont fait un excellent boulot. Les va et vient de responsables entre le privé et le public ont arraché les hauts fonctionnaires dédiés à la chose publique pour les jeter devant un miroir aux alouettes doré. Dans ces conditions, la démocratie vire à un concept virtuel mensonger.

Le transfert de la création monétaire vers des privés a été un coup dur porté à l’Etat de droit et à la démocratie. Les gouvernements ont de fait autorisé un petit groupe à accumuler des richesses illimitées sans raison économique valable. Le fait que la monnaie en question doive être accompagnée de créances a été une deuxième atteinte fondamentale à l’ordre établi. Désormais, un empilement de richesses pour les uns est accompagné d’un autre empilement de dettes pour le grand nombre, formant une double spirale qui s’alimente l’une l’autre. L’Etat ne peut plus élaborer de politique monétaire indépendante, entraînant dans son sillage une série de conséquences vitales. Il a dès lors perdu une des quatre prérogatives régaliennes fondatrices. (Extrait de Coup d’Etat planétaire)

Les conséquences du confinement

Le confinement a été décrété après après des semaines d’une épidémie gérée de manière grotesque. L’ayant largement couverte, nous ne reviendrons plus dessus.

Nous allons dorénavant nous intéresser aux conséquences d’un confinement induit par des modèles supposés scientifiques, mais réellement faux. Si la pandémie n’a pas généré la catastrophe prévue par les faux docteurs, les conséquences se révèleront toujours plus dramatiques pour le groupe appartenant à la spirale descendante et incroyablement flamboyantes pour leurs vis-à-vis bénéficiant de la monnaie générée par les dettes. Une vampirisation monétaire est déployée en direct.

Voici quelques chiffres concernant les Etats-Unis qui illustrent parfaitement bien la double spirale.

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En 9 semaines, le nombre de chômeurs affichait 38,5 millions. Ce qui fait un taux de 14,7% de la population. Evidemment que là-dedans ne figure pas les travailleurs au noir dépourvus de titres de séjour…https://i0.wp.com/d3fy651gv2fhd3.cloudfront.net/charts/united-states-unemployment-rate.png?w=660&ssl=1

Face au cataclysme économique et financier qui frappe l’essentiel des habitants, l’Etat américain, habitué depuis 2007 à mettre la main à la poche de ses contribuables, a débloqué $2 Trillion pour financer le « sauvetage » de l’économie. La vidéo ci-dessous présente le volume des 2 trillions ramenés à des billets de 100$. (Vidéo vue chez Olivier Crottaz)

Comme dit plus haut, la monnaie mise à disposition est de la liquidité fraîchement créée contre dettes.Voici la dette américaine augmentée en toute logique du montant des 2 trillions de $. Sur ce visuel, elle est même déclinée en parts dues par les citoyens et/ou les contribuables du pays. Des sommes impossibles à rembourser!

dette américain mai 2020

Ceux qui vous disent que cette création monétaire génèrera de l’hyperinflation n’ont pas compris le principe sulfureux de la création monétaire contre dettes. Voici la liste des créateurs monétaires contre dette publique US  (Primary dealer europe).

Si vous y voyez des banques de votre région, hors US, c’est normal. Les banques de votre pays sont chargées de disséminer dollars et titres de créances gouvernementales aux 4 coins de la planète, activité qui a permis la globalisation de la planète finance.

A lire: https://www.project-syndicate.org/commentary/perpetual-bonds-are-essential-to-european-union-survival-by-george-soros-2020-05

Vous serez intéressé de savoir que la BofA securities est un secteur de la Bank of America globalisée. Et savez-vous qui détient près de 11% des actions de la banque? Berkshire Hathaway Inc., le fonds de Warren Buffet. Vous constaterez que plusieurs autres banques qui créent la monnaie contre dette du gouvernement américain figurent dans le portefeuille de Berkshire: Bank of New York Mellon, Goldman Sachs, JP Morgan, etc. Relevons au passage l’importante participation dans Apple.

Berkshire Hathaway CNBC

Source CNBC

Et quel est l’autre propriétaire de poids de Berkshire Hathaway Inc.? Bill Gates. Il a même longtemps siégé aux côtés de Warren Buffet, jusqu’à récemment. Voir les participations massives des Gates dans ce fond d’investissement planétaire.

https://www.eastvalleytribune.com/money/bill-gates-warren-buffett-will-sit-on-berkshire-board/article_1f4652a8-1444-56cb-b3ad-56c06a22eb8a.html

Bill Gates portefeuille

Subitement ces entreprises anonymes créatrices de monnaie-dette ont des visages et des noms. Ce ne sont plus des investisseurs anonymes et inconnus. On peut mettre d’un coup des visages sur les instigateurs d’une Nouveau monde, où un très petit nombre pourrait finir par détenir à peu près tout. Les Gates, Buffet et autres Bezos ne sont bien sûr pas les seuls, et peuvent n’être que des hommes de paille, chose tout à fait admise dans le monde de l’entreprise. Et voici les gains de ces hommes en quelques semaines de confinement. Très certainement un phénomène historique.

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bezos et zuckerberg

Donc si vous voulez devenir un dieu milliardaire, vous devriez investir dans une banque: une banque financière capable de créer la monnaie-dette pour les Etats, soit une banque de données gigantesques mais qui peut  déposséder les populations de leurs données les plus intimes. Berkshire a tout compris en cumulant les deux.

Maintenant, il vous reste une autre solution. C’est vous faire coopter par une banque centrale qui investirait abondamment dans votre entreprise. Regardez comment la BNS a boosté récemment Microsoft, de l’incontournable Bill, l’entreprise qui rêve de vous faire turbiner pour la fabrication de cryptomonnaie. Décidément le projets pour un futur esclavagiste de l’humanité est une pathologie chronique.

BNS investissement

bns investissement 2 suite

A relever les investissements de la BNS dans la technologie qui va numériser l’Etat suisse. Du coup, l’ensemble des données du pays seront stockées auprès des GAFAM.

La BNS offre des milliards pour booster ses heureux élus. Dans son cas, l’argent provient en direct des (vos) dépôts des banques… suisses bien sûr. La double spirale est solidement ancrée dans l’ADN de nos dirigeants asservis à la chose financière. En fait, ils en sont les premiers esclaves… si cela peut consoler.

Liliane Held-Khawam

Lire aussi:

https://www.rts.ch/info/monde/11343965-les-milliardaires-americains-ont-glane-434-milliards-au-cours-de-la-pandemie.html

Ajout pour la Suisse

La Suisse vient de donner une base légale vite fait au principe de traçage des citoyens, chose prévue pour le mois de juin… Il faut dire que Apple et Google ne l’ont pas attendu. Leur appli était chargeable depuis le 21 mai.

Dans sa mise à jour iOS 13.5 du 21 mai, le site de Apple nous explique:

 » La mise à jour iOS 13.5 est disponible en version finale sur l’ensemble des iPhones compatibles. Comme annoncé, elle introduit le système de traçage et de notifications en cas de risque d’exposition au Covid-19 qu’Apple a co-développé avec Google (voir le tweet ci-dessous).  Il s’adosse à une API  (API Exposure Notification) conçue pour rendre les appareils Android et iOS compatibles avec les applications de contrôle des autorités de santé, qui seront les seules à pouvoir utiliser le dispositif. Apple et Google fournissent leur API dans 22 pays. La France n’en fait pas partie. Elle n’a pas souhaité en bénéficier pour son application StopCovid. »

Par conséquent, vous risquez de charger l’appli sans le vouloir, et ce dans le cadre d’une mise à jour! C’est donc Apple et ses partenaires qui décideront de la temporalité de son aspect facultatif. Quant à ceux qui seront inattentifs, ils se verront fliquer malgré eux. La démocratie suisse vient de voler en éclat. Nous y reviendrons!

10 réflexions sur “Confinement: Vous paieriez bien la facture ET l’enrichissement de ses promoteurs?

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  4. Nous n’avons que se nous méritons La stratégie du choc appliquée à des civilisés abrutis par les GAFA, Je pense que si Trump survit lors de son deuxièmes mandats il scindera les GAFA pour abus de positions dominantes, bizarre que notre belle europe n’y aie pas pensé. comme dirait Coluche le pinard devrait être obligatoire, à votre bonne santé.

  5. La somme de toutes les promesses non tenues

    Par James Howard Kunstler – Le 11 mai 2020 – Source kunstler.com

    La Grande Dépression des années 1930 était une crise énergétique …

    Le public agité, enfermé et inactif au cœur de ce printemps fleurissant, voit Wall Street se porter à merveille tandis que s’approche le crépuscule de son programme de protection des salaires, beaucoup plus modeste, et de ses chèques de secours contre le coronavirus. À la fin de la semaine dernière, le Dow Jones a grimpé de 455 points le jour même où le gouvernement a annoncé les pires chiffres du chômage depuis les creux de la Grande Dépression. Y a-t-il deux économies dans ce pays ? Une pour les personnes qui doivent travailler pour une rémunération, et une autre pour les banquiers qui jouent à des jeux louches avec l’argent des autres [multiplié par dix, NdT] et reçoivent des renflouements extravagants lorsque leurs jeux ne marchent plus ?

    On dirait bien, juste un peu. Cet enchevêtrement de dissonances cognitives risque de s’enflammer bientôt comme un tas de compost suractif lorsque l’ouverturepromise de l’Amérique commencera et que des dizaines de millions d’adultes capables découvriront que leurs anciens emplois, leurs vocations – et leurs salaires ! – ne seront plus jamais au rendez-vous, sans parler des soins de santé et des pensions. Que Dieu nous vienne en aide si les marchés boursiers sont en pleine bourre quand cette prise de conscience balaiera le pays.

    Et pourquoi les marchés ne continueraient-ils pas de bien se porter si la Réserve fédérale continue de déverser en permanence des tombereaux de dollars dans les chaudières de Wall Street ? Jay Powell et son équipe de monomaniaques croient apparemment que le renforcement des indices boursiers est le seul moyen d’assurer la santé du système, et ils ont adopté la théorie monétaire moderne (MMT), selon laquelle le gouvernement peut imprimer autant d’argent qu’il le souhaite pour faire tourner les rouages de l’usine – ou, du moins, l’apparence d’une usine. En deux mois seulement, ils ont mouliné des milliers de milliards, soit l’équivalent de l’accumulation de la dette pendant les deux premiers siècles des États-Unis. Bien entendu, l’argent frais est une nouvelle dette car, sous notre régime monétaire, l’argent doit être prêté pour exister.

    L’une des raisons pour lesquelles les marchés pourraient ne pas continuer à se développer est que l’argent disparaîtrait dans le vieux trou noir de l’extinction encore plus vite que la Fed ne peut entrer sur son clavier les chiffres qui représentent magiquement de l’argent frais. La raison : si, en fait, l’argent est prêté pour exister, il est mort par défaut lorsque les prêts ne sont pas remboursés. Après tout, un prêt c’est ça : de l’argent avancé sur une promesse de remboursement, généralement avec des intérêts, des intérêts récompensant la valeur temporelle de l’argent, c’est-à-dire la durée du prêt. Avez-vous une idée du nombre de prêts qui ne sont pas remboursés, et qui risquent maintenant de ne jamais l’être ?

    Commencez par les maisons. 63 % des propriétaires remboursent les échéances chaque mois. La moyenne nationale de l’encours des prêts hypothécaires individuels est de 148 000 dollars. La dette hypothécaire totale s’élève à 10 300 milliards de dollars. Maintenant, les voitures : il y a environ 260 millions de voitures particulières immatriculées en Amérique, dont plus de 100 millions ont été achetées grâce à des prêts toujours en cours, ce qui représente 1 200 milliards de dollars, soit assez pour acheter 53 millions de Ford Fusion à 23 000 dollars chacune. Maintenant, la dette des cartes de crédit : le total pour les États-Unis est de 3 900 milliards de dollars avec un solde moyen roulant de 9 333 dollars. Pendant ce temps, 45 % des adultes américains n’ont pas d’économies.

    Comme le sénateur Everett Dirksen (D-Ill) l’adit  un jour en riant lors d’une bataille budgétaire au Sénat : « Un milliard par-ci, un milliard par-là, très bientôt, vous parlerez d’argent réel ». Considérez qu’un trillion est un millier de milliards – et un milliard est un millier de millions. Dans une réalité ordinaire, une réalité basée sur la réalité, c’est-à-dire avec de l’argent basé sur la réalité, ce serait beaucoup d’argent – et beaucoup de dettes ! Il est difficile de projeter un chiffre exact, mais avec plus de 20 % de la main-d’œuvre américaine inactive, sans revenus, il est possible que beaucoup de dettes ne soient pas remboursées, ne le seront jamais et que beaucoup d’argent soit en voie d’extinction. Cela signifie que beaucoup de gens n’auront plus d’argent. Une fois le fait acquis que tout l’argent qu’ils devaient aura disparu, car il ne sera jamais remboursé, et que le nouvel argent que la Fed est en train de créer, sans aucun rapport avec la production de choses de valeur, remplacera l’ancien argent disparu, alors les Américains auront à nouveau beaucoup d’argent. Le hic, c’est que cet argent ne vaudra rien. Il y a donc deux façons de faire faillite : ne pas avoir d’argent ou avoir beaucoup d’argent qui n’a aucune valeur pour acheter quoi que ce soit. C’est ainsi que ça se passe.

    Avec les espoirs et les rêves d’une vie décente des gens. Ce que vous voyez, en fait, c’est une nation, et un système, qui en est venu à être basé sur des promesses non tenues. C’est ce que l’opinion publique, inquiète, conclura de ce fatras de statistiques. La discorde quittera rapidement le domaine statistique et s’installera dans celui de l’émotionnel, et ces émotions seront entièrement négatives : rage, ressentiment, griefs, vengeance, des sentiments de ce genre. La somme de toutes les promesses non tenues est un contrat social rompu. Ce contrat c’est l’accord selon lequel nous nous comporterons de manière civile en échange de la liberté de vaquer à nos occupations – dans le cadre de règles (lois) clairement définies sur ce qui constitue une activité légitime. Un contrat social rompu est exactement ce à quoi aboutissent toutes ces machinations. Par conséquent, les apparences de l’État – le système et les personnes qui le dirigent – deviennent de plus en plus fantastiquement malhonnêtes à la vue de tous.

    Par exemple, la fausse candidature de Joe Biden, un homme trop vieux et trop sénile pour être président, avec une longue histoire d’argent qui s’amasse, pour sa famille, dans et autour de ses bureaux officiels, à quoi s’ajoute maintenant une vieille accusation d’abus sexuel. Qui les Démocrates pensent-ils faire marcher avec cela ? Le coronavirus leur a donné une excuse pour enfermer Joe dans un placard pendant deux mois, mais peuvent-ils continuer à le cacher après le grand déconfinement ?

    Wall Street et ses garçons de course de la Réserve fédérale vont-ils continuer à officier avec leur vaudou sournois, à enrichir les actionnaires, les fonds spéculatifs et les dirigeants d’entreprises pendant que tous les autres se retrouvent à la limite de la famine et de l’indignation ? Trump va-t-il faire ce qu’il a suggéré lors de la campagne électorale de 2016 et déclarer une faillite nationale ? Après tout, il y a une différence entre la faillite et l’insurrection nationale. La faillite, au moins, est la promesse d’un redressement. Les redressements financiers sont généralement douloureux, mais ils sont ordonnés. Cela peut faire toute la différence.

    James Howard Kunstler

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