L’impact des Jésuites sur la globalisation. Les 3 étapes de leur histoire par José Casanova/ Global Georgetown

José Casanova is one of the world’s top scholars in the sociology of religion and a senior fellow at the Berkley Center, where his work focuses on globalization, religions, and secularization. He is also professor emeritus at Georgetown University, where he previously taught in the Department of Sociology and the Department of Theology and Religious Studies. During 2017 he was the Kluge Chair in Countries and Cultures of the North at the U.S. Library of Congress’ John W. Kluge Center, where he worked on a book manuscript on Early Modern Globalization through a Jesuit Prism. He has published works on a broad range of subjects, including religion and globalization, migration and religious pluralism, transnational religions, and sociological theory. His best-known work, Public Religions in the Modern World (University of Chicago Press, 1994), has become a modern classic in the field and has been translated into several languages, including Japanese, Arabic, and Turkish. In 2012, Casanova was awarded the Theology Prize from the Salzburger Hochschulwochen in recognition of his life-long achievement in the field of theology.

Casanova’s most recent research has focused primarily on two areas: globalization and religion, and the dynamics of transnational religion, migration, and increasing ethno-religious and cultural diversity. His books in this area include Islam, Gender, and Democracy in Comparative Perspective, co-edited with Jocelyne Cesari (Oxford University Press, June 2017), Beyond Secularization: Religious and Secular Dynamics in Our Global Age (Spirit and Letter, 2017, in Ukrainian), and Jesuits and Globalization: Historical Legacies and Contemporary Challenges (Georgetown University Press, 2016), co-authored by the Berkley Center’s Thomas Banchoff. He has also published several articles on the subject, including « Global Religious and Secular Dynamics: The Modern System of Classification » in Brill Research Perspectives in Religion and Politics (2019), “Nativism and the Politics of Gender in Catholicism and Islam” in Gendering Religion and Politics: Untangling Modernities (Palgrave, 2009), and “Public Religions Revisited” in Religion: Beyond the Concept (Fordham University Press, 2008). 

Casanova holds a B.A. in philosophy from the Seminario Metropolitano, M.A. from the University of Innsbruck in theology, and M.A. and Ph.D. in sociology from the New School for Social Research.

6 réflexions sur “L’impact des Jésuites sur la globalisation. Les 3 étapes de leur histoire par José Casanova/ Global Georgetown

  1. Le mondialisme tel qu’on le vit n’a jamais été une volonté catholique ou chrétienne. Le concept de globalisation est gnostique dans le cadre d’un monisme métaphysique cosmique. Le mondialisme fait partie des prophéties du Deutéronome de l’Ancien Testament. Elles mettaient en avant le « peuple élu » face à l’humanité. Le Christ a stoppé cette vision de suprématie, d’uniformisation, de cosmopolitisme, d’indifférenciation, de holisme des sociétés humaines qui aboutiront au communisme. Le communisme, comme le Talmudisme, la Gnose et la Kabbale, sont anti-chrétiens.

    Les Jésuites ont progressivement été infiltrés par la Gnose et les gnostiques. Le Christianisme a constamment été attaqué par des hérésies, elles-mêmes propagées par les gnostiques et leurs sociétés Rose-croix, puis maçonnes. La Réforme est une révolution religieuse voulue par les gnostiques pour affaiblir le catholicisme. Calvin et Luther avaient des relations étroites avec la Gnose. Le catholicisme s’est fragmenté et le Vatican a été infiltré par les ennemis du Christianisme pour le détruire de l’intérieur. Les Jésuites y ont pris part. Le coup de grâce fut le Concile Vatican II de 1963 qui a désacralisé la religion catholique et supprimé toute transcendance à la demande du B’naï B’rith.

    Depuis Jean XXIII en 1958, tous les Papes qui ont suivis sont francs-maçons ou marranes, donc des suppôts de la synagogue et de la Gnose. Ils sont mondialistes, mais ne représentent plus le vrai Christianisme. Depuis Jean XXIII, le Vatican n’est plus le défenseur de la doctrine chrétienne. Les cinq derniers Papes sont des imposteurs au service de la finance et de la Gnose mondialiste.

  2. On retrouve en effet cette analyse dans la travail d’Étienne Couvert, qui inclus le jansénisme dans la longue liste des gnostiques au service de l’antichristianisme.

  3. « Lorsque vous vous opposez philosophiquement à toute une élite du pouvoir, vous ne pouvez pas vous empêcher de parler comme un théoricien de la conspiration. Le pouvoir social est par nature une conspiration. » ,Tom N

  4. @Serge. A cette réflexion de Tom N. est intéressante. Je répondrais que si « le pouvoir social est par nature une conspiration », cela n’est pas forcément une fatalité. Cette réflexion n’empêche pas l’indignation, l’identification et la dénonciation des comploteurs.

    On ne peut pas laisser indéfiniment l’Histoire s’écrire par les génocides, le terrorisme, les assassinats et laisser les responsables impunis. Quand on sait que l’objectif des gnostiques est la suprématie de l’élite des initiés, le communisme pour toute l’humanité avec la déshumanisation et la suppression du libre-arbitre, etc. Quand on sait que les transhumanistes gnostiques souhaitent la disparition de l’espèce humaine au profit d’une minorité qui espère l’immortalité grâce à la bio-technologie, on ne peut que conclure que ce complot gnostique et Kabbaliste est anti-humanité et anti-chrétien. Le Pape François est un Jésuite et il y participe.

    L’action de Trump et de l’Alliance contre l’Etat profond doit être soutenue. Car elle dénonce le complot du 11.9, le Pizzagate (pédo-satanisme des élites), l’Obamagate (affaire Trump-Russie) et les fraudes dans les votations des pays démocratiques, notamment du 4.11.2020 aux USA. A ces complots doit s’ajouter celui de la pandémie du Covid-19 et du Reset avec tous les mensonges et le pseudo-vaccin toxique.

    En conclusion, le pouvoir social doit être combattu s’il s’agit d’une imposture malveillante pour les population et l’humanité. La démocratie suisse existe depuis 1291. Cette pérennité montre que le pouvoir social peut être honnête et bienveillant. A nous de corriger le tir quand il dévie de la cible.

  5. Quand beaucoup croient mériter le paradis alors qu’en fait ils méritent largement l’enfer spirite, y compris cette église corrompu

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