La Suisse mute en cyber-Etat. Portes dérobées bienvenues.

Je vous invite à regarder cette vidéo qui est une accusation sans appel contre les autorités cantonales et fédérales qui ont renoncé à nous protéger contre les intrusions répétées de la galaxie technonumérique, qui sont autant d’agressions jamais sanctionnées.

La présence des portes dérobées que la RTS semble découvrir est une pratique connue de tous. Nous sommes espionnés en permanence depuis des décennies, et cela ne risque pas de s’arranger.

Les délinquants de l’industrie du numérique semblent intouchables. Leurs délits n’ont jamais été et ne seront jamais sanctionnés. Toute ressemblance avec le monde de la haute finance en matière d’impunité et de laisser-faire n’est pas fortuite. Tout ce petit monde mange dans la même main: celle des financiers qui se sont accaparés la création monétaire.

Accessoirement, cette soft conquête silencieuse menée via la digitalisation de la sphère privée et publique s’est soldée par la perte de contrôle de nos banques, de notre tissu industriel, de notre liberté, mais aussi par des projets eugénistes qui visent à mettre un terme à notre nature humaine.

Pour l’heure Berne restructure le pays en profondeur sans en référer aux principaux intéressés pour en faire un cyber-Etat potentiellement contrôlable et gérable à distance. Le réveil de certains risque d’être douloureux…

Je vous invite à lire soigneusement le texte ci-dessous.

LHK

Stratégie fédérale

Une véritable structure de pilotage de la cyberadministration suisse pourrait voir le jour en 2025

Jeu 24.10.2019 – 14:38 par Yannick Chavanne

Dans un rapport examinant quel mode organisationnel est le plus souhaitable pour piloter la cyberadministration suisse, la Confédération envisage la mise en place d’une autorité souveraine à même de prendre des décisions à caractère contraignant.

L’organisation de la mise en œuvre de la stratégie 2020-2023 de la cyberadministration suisse ne satisfait pas entièrement les parties prenantes de l’administration publique. Ce constat ressort d’une étude externe d’AWK Group, dont les résultats montrent que les attentes en la matière ont considérablement augmenté. Le comité directeur manque de vision politique, de volonté, et le nombre trop important d’acteurs impliqués est aussi pointé du doigt.

Le rapport indique en substance qu’une autre forme d’organisation doit être mise en place, notamment en repensant la répartition des rôles entre la Confédération, les cantons et les communes.

Dans un contexte où la Suisse continue d’accuser du retard sur le terrain de la cyberadministration, le comité de pilotage a décidé de tenir compte des résultats de l’analyse d’AWK. Le Conseil fédéral a en outre chargé le Département fédéral des finances (DFF) et la Conférence des gouvernements cantonaux (CdC) d’examiner la possibilité de définir des bases légales plus contraignantes pour la collaboration entre la Confédération, les cantons et les communes. En interview avec la rédaction, le Chef de la direction opérationnelle de la cyberadministration suisse considérait d’ailleurs cette absence de bases légales comme un frein important.

Trois pistes plus ou moins ambitieuses

Le rapport final du DFF et de la CdC présente trois solutions qui ont chacune un niveau d’ambition différent. La première, la moins ambitieuse, prévoit que la mise en œuvre de la cyberadministration suisse soit pilotée par une organisation assumant un nombre de tâches modéré (fixation des priorités, planification de la mise en œuvre, normes en matière de gestion des données, les services de base). Mais les décisions n’auraient dans ce cas de figure aucun caractère contraignant, contrairement à la seconde solution présentée.

La troisième solution va plus loin, en envisageant une autorité souveraine en mesure d’entériner des décisions en toute autonomie dans le cadre du mandat et du budget qui lui sont attribués. Cette autorité impliquerait la Confédération, les cantons et les communes.

Vers une mise en œuvre par étapes

La première solution a pour avantage de ne requérir ni base constitutionnelle, ni création d’une organisation dotée de la personnalité juridique. Mais elle ne change pas la donne en correspondent à un «développement ponctuel du statu quo», souligne le rapport. En revanche, la troisième solution requiert une base légale, une base constitutionnelle, et demande beaucoup plus d’efforts des collectivités concernées, qui devront accepter une perte d’autonomie. En conclusion, le rapport ne préconise aucune des solutions mais une mise en œuvre par étapes. Selon ce plan, l’éventuelle mise en place d’une autorité commune pourrait s’opérer dès de 2025.

Le développement de la cyberadministration, qui serait dans ce contexte régulièrement évalué, pourrait si besoin être interrompu à tout moment. La phase de validation politique du rapport final s’ouvre maintenant, pour une décision concernant la suite des travaux attendue au printemps 2020.

https://www.ictjournal.ch/news/2019-10-24/une-veritable-structure-de-pilotage-de-la-cyberadministration-suisse-pourrait-voir

18 réflexions sur “La Suisse mute en cyber-Etat. Portes dérobées bienvenues.

  1. Le monde qu’on nous prépare ressemble étrangement à une mega-prison à ciel ouvert. Nous serons « libres » dans un cadre de surveillance généralisé. De l’état jusqu’à notre employeur nous serons « scannés  » en permanence jusqu’à la nausée. Peut-être que seul la mort rendra dès lors notre liberté……
    Merci pour votre travail d’information qui est essentiel.

  2. On dirait que les autorités suisses sont pressées pour museler les Suisses pour cacher leur gestion catastrophique…

  3. Liliane, très bon papier à nouveau. Un grand merci pour votre travail d’éveil de conscience, surtout sur les sujets de très grande importance, permettant de mieux cerner le Monde dans lequel les peuples évoluent.

    « Le principal fléau de l’humanité n’est pas l’ignorance, mais le refus de savoir. », Simone de Beauvoir. C’est pas faux, vraiment pas faux..!

    Les autorités fédérales et cantonales: au « mieux », elles sont d’une naïveté – et incompétence – criminelle; au pire, elles sont complices d’une manière ou d’une autre, et cela relève, en mon sens, de la Haute trahison.

    D’ailleurs, par rapport à la fin du secret bancaire suisse, « sous pression » ou plutôt chantage très « dure » de la part de l’Administration Obama: les 2 anciennes conseillères fédérales Calmy-Rey et Widmer-Schlump devraient s’expliquer, voire rendre des comptes; je pense particulièrement aux « entretiens » – avec « au menu », des diktats u.s.?! – qu’elles ont eu avec la « gentille » secrétaire d’Etat, H. Clinton…

    Quant à la réaction légère du conseiller fédéral Ueli Maurer, cela n’est guère surprenant, inféodé qu’il est, lui et nombre de – tous?! – membres du Conseil fédéral aux puissants lobbys de FinTech, Big Pharma, Haute finance et autres GAFAM ( apparemment, le Marais de Washington s’étend, également, jusqu’à la « neutre » CH).

    P.S: l’équivalent israélien de la NSA, « unité 8200 » n’est pas mal non plus…

    Re-ps: je vous invite à jeter un oeil à la 2e interview de cet article; au final, rien qui ne vous surprenne:

    https://fr.sott.net/article/31024-Ronald-Bernard-repenti-de-la-Haute-Finance-temoigne-Si-seulement-les-gens-savaient-comment-fonctionne-reellement-le-monde

  4. Pingback: La Suisse mute en cyber-Etat. Portes dérobées bienvenues. – Les moutons enragés

  5. Sur la façade d’Uni-Dufour on a vu furtivement s’inscrire 666. La bête agit dans notre dos depuis des siècles dans le but de voler la richesse, le pouvoir et de nous asservir. L’ésotérisme signifie secrets réservé aux initiés. C’est le monde des symboles, des non-dits, des conciliabules d’arrière-boutiques de sociétés secrètes, de think-tanks et de sectes qui vouent une dévotion à des démons pour obtenir la toute-puissance. Nos politiciens et ceux d’ailleurs sont choisis par cooptation en fonction de leur appartenance à la maçonnerie et à ces sectes. François Hollande l’a avoué. Une fois incorporé et initié, vous perdez votre libre-arbitre et devenez un mercenaire 666, parfois sans le savoir.

    La suite c’est un travail de corruption pour acheter le personnel des outils d’information et monopoliser l’économie. Aux USA, les plus militants sont les démocrates. En Europe, la plupart des nations sont très infiltrées par la bête, à l’exception de Visegrad et des patriotes dits « complotistes ». La Chine et son PCC sont le modèle des mondialistes sataniques. Ses habitants sont hyper contrôlés, récompensés ou punis selon leur servilité à l’Etat. Il n’existe plus là-bas de liberté de penser. Nos dirigeants souhaitent nous emmener vers le communisme mondialiste cosmopolite qui est l’aboutissement du projet messianique du Deutéronome, soutenu par la Gnose, puis par philosophie moderne depuis la Renaissance et surtout depuis la Révolution française. Le Christianisme, qui défend la liberté individuelle, a été leur pire ennemi doctrinal. Les mondialistes ont imaginé le monisme où tout est Un. Chaque personne est un élément d’un tout, ce qui les amène à regrouper les entités dans des ensembles toujours plus grands pour finir dans le mondialisme et son cosmopolitisme sans propriété privée et sans aucune différenciation de races, ethnies, sexes, nations, familles, QI, etc. Une énorme bouillie ou la « tourbe nombreuse » de la Tour de Babel. Ce projet permet aux initiés de devenir les maîtres du monde définitivement, aidés par la bête 666.

    Il est temps de mettre un terme à cette comédie. Revenir aux valeurs et à la morale de l’ordre mondial du Concile de Nicée qui donne à chacun sa liberté, sous la supervision du Dieu universel.

  6. le modèle container* (firefox) pourrait inspirer les informaticiens suisses chargé de supprimer ces portes. Si il n’y a pas d’action immédiate lorsque l’informatique quantique sera mûre, il y aura une catastrophe qui se produira.

  7. Ne vous plaignez pas, chez nous c’est carrément la bérézina. Car la France en matière de corruption a depuis longtemps décroché le pompon.
    George Soros et la CIA contrôlent les services de renseignement français
    http://www.geopolintel.fr/article2671.html

    L’arme ultime de Bill Gates et de la DARPA : Technologie de forçage génétique qui permettra de faire disparaitre une espèce. Et pourquoi pas les populations indésirables ?
    https://odysee.com/@NeufdeCoeur:1/part-12:6

    5 médecins conviennent que les injections de COVID-19 sont des armes biologiques
    https://odysee.com/@NeufdeCoeur:1/5-doctors:1

    Vous avez aimé le Covid19 devenu 21 ? Vous allez alors raffoler du prochain : Covid25 et la pandémie des SPARS, prévus entre 2025 et 2030 par le Johns Hopkins Center for Health Security !

    https://odysee.com/$/embed/3a0cdf/6e89670f5336551eb12947696a0794a7b6250d13?r=4HjWTHuKzSrKcmv43xUabAJXLVetcFjT

    Le rapport est déjà pondu. Il est officiel et fait 89 pages. Régalez vous !

    https://ia803407.us.archive.org/2/items/spars-pandemic-scenario_202104/spars-pandemic-scenario.pdf

  8. Pingback: La Suisse mute en cyber-Etat. Portes dérobées bienvenues. – Les moutons enragés – Le Monde

  9. Ce n’est qu’une piste, mais de cette réalisation très correcte on pet en déduire autre chose . . . . vous avez mon mail.

  10. @zelectron
    Merci pour l’info. La fondation Mozilla, et son Firefox, pas si indépendants que cela. Mozilla qui prône maintenant plus de censure de l’Internet. Ecouter la vidéo de DistroTube. DT est spécialisé dans l’open source depuis des années et défenseur de logiciels libres.
    https://open.lbry.com/@DistroTube:2/mozilla-no-longer-supports-a-free:5

    Si vous voulez des navigateurs vraiment sécurisés :
    Waterfox
    Librewolf
    Brave (avec le navigateur TOR aussi)

    Dégooglisés, déchromisés et defirefoxisés…

  11. il y a bien longtemps David Chaum a été sérieusement inquiété pour avoir sorti e-cash (1983) et DigiCash (1989) les 1ers systèmes de monnaies anonymes et cryptées, il a été obligé de stopper sous pression des banques et des gouvernements qui voyaient d’un très mauvais œil de perdre le contrôle de la monnaie.

  12. @ mirko: donc, tout bien pesé, avoir simplement Tor serait l’idéal ?

  13. @ Pierre Michel
    Tor est très lent, donc je ne le trouve pas très pratique. Il convient bien pour des recherches ponctuelles. Des sites ne fonctionnent tout simplement pas.
    Avec le navigateur Brave, vous avez la possibilité d’ouvrir une « Nouvelle fenêtre privée avec Tor ». C’est bien pour aller anonymement sur des pages FB par exemple. Et il me semble que c’est quand même un peu plus rapide que Tor. Certains sites, comme YouTube, n’aiment pas cette façon de faire… Mais je boycotte l’odieux YouTube, alors ça m’est égal !
    Il est toutefois important de garder à l’esprit que 100% ni vu ni connu est impossible sur Internet, même par Tor.
    Et puis, utiliser DuckDuckGo, pas Google, c’est déjà une bonne chose.
    Ceci est mon avis personnel, et non pas la vérité totale et irréfutable, car je ne la possède pas 😉 Seuls les « fact checkers », les Etats et les médias de masse semblent avoir ce privilège 😉

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