[MàJ]Les personnes vulnérables semblent pénalisées par le vaccin. Pourquoi persister? Sont-ils devenus des indésirables?

1/3 des décès liés au coronavirus aux US se sont déroulés dans des résidences pour personnes âgées. Ces chiffres ne figurent pas dans l’étude britannique que nous relayons. Il ne s’agit que de personnes malades de Covid que l’on a hospitalisées. Les personnes des EMS/EHPAD ont été massivement traitées au Rivotril (Cf vidéo du Dr Delépine ci-dessous). Nous dénonçons une euthanasie active et massive, cautionnée par l’Etat public, dans des lieux où l’on a enfermé les aînés indésirables et désargentés. Un génocide que nous dénonçons haut et fort sur ce site. https://www.nytimes.com/interactive/2020/us/coronavirus-nursing-homes.html

La pandémie planétaire a permis que des candidats-vaccins soient injectés à une partie importante de l’humanité. Ces produits, fruits d’une technologie à portée génétique, sont à l’heure actuelle toujours en phase de validation. Qui dit phase d’essais et de validation, dit cobayes. Les gouvernants politiques ont unanimement admis la transformation de la planète en un vaste laboratoire peuplé de cobayes qui vont jusqu’à risquer leur vie (cf graphique ci-dessous), et qui doivent payer cher le produit qu’on leur inocule. Un comble de perversion!

https://lilianeheldkhawam.com/2021/04/27/vacciner-a-tout-prix-mensonges-et-petits-arrangements-avec-la-verite-inclus/
Voici un graphique qui donne aussi à réfléchir et à interroger les responsables des autorités sanitaires et leurs partenaires industriels. Cela se passe à Monaco.

Des vaccinés devenus contagieux?

Nous avons découvert avec stupéfaction que les personnes vaccinées pouvaient même être contagieuses par l’émission d’aérosols (respiration, toux, éternuement, etc…) ou par simple contact physique à travers la peau.

Dans un document publié par Pfizer que nous relayons, il est dit à la page 67 que:

L’exposition dans le cadre de traitement expérimental pendant la grossesse ou l’allaitement et l’exposition professionnelle doivent être signalées à Pfizer Safety dans les 24 heures au responsable des essais cliniques.

https://lilianeheldkhawam.com/wp-content/uploads/2021/05/pfizer-protocole-clinique-de-novembre-2020.pdf page 67

Voici la liste des situations indiquées par Pfizer qui signifieraient que la personne a été exposée, EDP.

Il est question, dans ce passage des pages 67-68 du document joint de Pfizer, d’exposition pendant la grossesse ou pendant l’allaitement et exposition professionnelle.
8.3.5.1.Exposition pendant la grossesse
Une EDP se produit si:
• Une participante est enceinte alors qu’elle reçoit ou après avoir interrompu une intervention liée à l’étude.
• Un participant de sexe masculin qui reçoit ou après avoir interrompu une intervention liée à l’étude expose une partenaire féminine avant ou à peu près au moment de la conception.
• Une femelle est enceinte alors qu’elle reçoit ou après avoir interrompu une intervention liée à l’étude en raison d’une exposition environnementale.
Voici des exemples d’exposition environnementale pendant la grossesse:
• Une femme membre de la famille ou un professionnel de la santé déclare qu’elle est enceinte après avoir été exposée dans le cadre d’une intervention de l’étude par inhalation ou par contact avec la peau.
• Un membre masculin de la famille ou un professionnel de la santé qui a été exposé à une intervention liée à l’étude par inhalation ou par contact avec la peau expose alors sa partenaire féminine avant ou à peu près au moment de la conception.

60% des nouveaux contaminés sont des gens vaccinés (AJOUT)

Des candidats-vaccins aux nombreux effets indésirables.

Les essais, appelés à tort vaccination, ont donc lieu partout dans le monde sous l’égide des représentants de la haute finance internationale. Et ces produits posent eux-mêmes de gros soucis, ce qui a fait dire à certains que nous avons dorénavant à gérer un double problème: la pandémie d’une part et les conséquences de la vaccination d’autre part.

Nous avons vu avec nos publications de ces derniers jours que des conséquences sanitaires lourdes sont apparues suite aux campagnes de vaccination israélienne ou indienne.

Effets de la vaccination sur la population indienne Israël enquête sur les effets secondaires du vaccin Pfizer. Un rapport alarmant

De nombreux effets indésirables ont été relevés en France aussi, dont près du quart est qualifié de grave dit « d’intérêts particuliers ».

Et dans le cadre de ces effets secondaires graves, dits d’intérêt particulier », on nous signale des infections au Covid! Une épidémie dans l’épidémie…

La technologie vaccinale qui attise la pandémie existante

On se souvient bien que l’on nous a expliqué que grâce à cette nouvelle technologie vaccinale, c’est la cellule humaine qui devra fabriquer la protéine spike qui à son tour va produire les anticorps pour contrer les spikes. Serait-ce la cause de l’infection des vaccinés et de la transmission du virus à travers les aérosols et/ou la peau?

L’ARN messager (ou ARNm) est une copie parfaite d’un petit morceau de l’ADN qui contient toute l’information nécessaire à la fabrication d’une protéine. https://www.simplyscience.ch/archives-jeunes/articles/contre-le-coronavirus-voici-le-vaccin-a-arnm.html
Le vaccin à ARNm contre la COVID est fait de milliards de copies d’un ARN messager bien particulier : il contient l’information pour fabriquer la protéine spike du coronavirus ! Ainsi, au lieu d’injecter directement l’antigène du virus, on injecte l’ARNm, et la cellule va créer elle-même l’antigène qui va permettre au corps de fabrique des anticorps. https://www.simplyscience.ch/archives-jeunes/articles/contre-le-coronavirus-voici-le-vaccin-a-arnm.html

Un nombre indéterminé de vaccinés porteurs de la Covid

Nous nous devons de constater qu’une part indéterminée des personnes vaccinées est porteuse du virus à cause précisément de la méthodologie de la technologie vaccinale à ARN messager. Nous pouvons l’affirmer sur la base des données françaises ci-dessus, corroborées par une étude britannique (ci-dessous) qui zoome sur les données des hospitalisations de personnes vaccinées positives au Covid.

L’étude en question concerne une sous-période de la 2ème vague qui débute le 8 décembre 2020, date à laquelle les personnes prioritaires britanniques ont été vaccinées. Ce ciblage a pour but de comparer les hospitalisations pour Covid en différenciant les patients vaccinés de ceux qui ne le sont pas. 52280 sur 99 445 étaient des patients Covid dont 3 842 avaient reçu au moins leur première dose de vaccin, soit 7,3% (3842/52280) d’admis à l’hôpital depuis le 8 Décembre 2020.

L’étude britannique qui analyse le phénomène de cette infection dans le cadre du réseau hospitalier ISARIC4C(Consortium) / CO-CIN ( COVID -19 Clinical Information Network) pour la période allant du 1er Septembre 2020 au 10 avril 2021, soit l’intervalle temps dans lequel s’inscrit la 2ème vague britannique (99 445 admissions à l’hôpital). Une immense base de données a pu être constituée avec l’éclatement de la pandémie. Cette collecte de data géante est planétaire. Les acteurs britanniques de la chose ne semblent pas avoir été pris au dépourvu, puisque l’on nous explique que cela fait 9 ans qu’un réseau « national » se prépare à pareil évènement. Et ce réseau-consortium s’intéresse aussi bien au Covid qu’à des études génomiques. L’étude ISARIC4C a créé une plate-
forme d’analyse intégrée en libre accès
pour les données cliniques liées à travers le NHS à une gamme d’études, y compris ISARIC4C, GenOMICC, PHOSP, COG-UK et UK-CIC. https://isaric4c.net/

Patients vaccinés hospitalisés pendant la deuxième vague*, (avec mise à jour à avril ’21) est donc cette publication très importante, publiée par le gouvernement UK, qui présente les chiffres de la 2ème vague tout en zoomant sur la période post-vaccination. Et information précieuses, les auteurs y ont intégré les réactions post-vaccinales liées à une infection au Covid ayant nécessité une hospitalisation.

Cela revient à dire que les positifs sans symptômes et ceux qui se sont soignés sans être hospitalisés ne sont pas recensés dans cette étude. Quel en est leur nombre? Quelle est l’ampleur du phénomène? Nous n’en savons rien!

Alors qu’elle est censée protéger, la vaccination peut induire des complications similaires à celles du virus qu’elle est supposée éradiquer… De plus, l’ampleur du phénomène si on incluait les formes bénignes est simplement inconnue.

Cela revient à dire que la vaccination est potentiellement en train d’amplifier la pandémie.

Y a t- il une corrélation entre la flambée de la 2ème vague et la vaccination?

Figure 1: graphique reflétant les hospitalisations en UK pour la 2ème vague dès le 1 er septembre 2020. Nombre d’admissions à l’hôpital de la deuxième vague ventilé entre vacciné (vert) et non vacciné (orange).
Image de gauche A: comptes absolus, Image de droite B: comptes cumulés

Curieusement, nous voyons sur la courbe de gauche un pic important qui fait suite au démarrage de la campagne de vaccination (courbe verte). Ce visuel impose la question sur l’éventualité d’une corrélation entre les 2 phénomènes. Cela nous rappelle évidemment notre publication sur l’Inde, ou sur Israël, où la vaccination correspond à une flambée de nouveaux cas et de décès.

Voici la courbe recensant les nouveaux cas UK depuis la 1ère vague… (Démarrage de la 2ème phase des essais de vaccination marqué sur les 2 courbes qui suivent)…

… et la courbe de décès…

Rappelons que Oxford a lancé les premiers essais sur humain dès le mois d’Avril 2020 https://www.bbc.com/news/health-52394485

Ces quelques données égrenées au fil des jours sont révélatrices d’un dysfonctionnement majeur de ce produit et de ses effets sur la santé publique.

Est-ce que les vaccinés deviennent des vecteurs de diffusion du virus?

La majorité des patients Covid hospitalisés et vaccinés a contracté la maladie dans les jours qui ont suivi la vaccination

Figure 2: Histogramme présentant le nombre de jours qui sépare la date de vaccination et celle de l’apparition des symptômes chez des patients hospitalisés (PCR positif non, oui et NA = non disponible). Dans ce groupe, les personnes déjà infectées au moment de leur vaccination sont incluses (bâtonnets avant le 0).
Figure 3: Ici est mesuré le temps qui sépare la vaccination et l’admission à l’hôpital. Ici, on n’a retenu que les personnes qui ont été infectées après la vaccination (médiane à 15 jours).

Les chercheurs ont constaté que le délai médian entre la réception d’un premier vaccin et l’apparition des symptômes de Covid était de neuf jours. Étant donné que le délai médian entre l’infection et l’apparition des symptômes est de cinq jours, cela suggère que la majorité des vaccinés hospitalisés à cause du Covid a contracté la maladie dans les jours suivant la vaccination.

La question des décès des personnes les plus exposées aux effets du virus reste ouverte

La phase 1 de la vaccination démarrée en décembre 2020 ciblait le groupe de personnes prioritaires. L’étude nous montre les chiffres qui différencient les patients hospitalisés vaccinées et ceux qui ne sont pas vaccinés répartis en fonction de leur appartenance à une catégorie identifiée de la population globale.

Vous constaterez que les personnes résidant dans des EMS/EHPAD ne sont pas affichées. Nous pouvons craindre qu’il s’agisse de personnes décédées dans leur résidence d’accueil qui selon nos informations n’ont pas été déplacées vers les hôpitaux et ont été soignées au Rivotril (produit pharmaceutique dont l’administration selon un certain dosage équivaudrait à euthanasier le patient). Voir l’intervention ci-dessous de la doctoresse Nicole Delépine, cheffe du service d’oncologie pédiatrique de Garches/France.

Une observation au passage: Selon les chiffres présentées par les auteurs britanniques de l’étude, nous sommes contraints de constater que les personnes vaccinées s’en sortent moins bien que les non vaccinées. Exemple. Dans la catégorie 2, nous voyons que 19,9% du groupe non vacciné et hospitalisé atteint de Covid décèdent, contre 25,5% des vaccinés de moins de 20 jours et cela monte à 29,7% des vaccinés de plus de 21 jours! La différence est encore plus marquée dans le tier3. Ces pourcentages auraient été encore plus dramatiques si nous n’avions pas dans ces catégories des travailleurs bien plus jeunes que les populations de personnes âgées ciblées par la classification!

Alors question: pourquoi vaccine-t-on les personnes les plus à risques qui au mieux ne bénéficient pas du vaccin?

Tableau E1:Caractéristiques de base de la population vaccinée ventilée en fonction du temps écoulé entre le vaccin et l’apparition des symptômes (n = 3016). Selon les auteurs, ce groupe peu susceptible d’être un échec du vaccin (<14 jours) et probablement dû à un échec du vaccin (14 à <21 jours) et plus susceptible d’être un échec du vaccin (> = 21 jours). Les analystes ne sont pas en mesure d’identifier les résidents des foyers de soins de niveau 1 à partir de nos données – ces personnes sont susceptibles d’être principalement affectées au niveau 2. Le niveau de vaccination 10 est composé de patients âgés de 16 à 50 ans ne faisant pas partie d’un niveau de vaccination supérieur. La troisième colonne concerne les patients asymptomatiques (et donc incapables de désigner le groupe d’apparition des symptômes).

Les gouvernants se sont assis sur la Constitution et sur les Droits fondamentaux des citoyens

Le principe de précaution, la liberté de disposer de son corps, la défense de la dignité humaine, le droit à la protection de l’intégrité corporelle, le droit à la protection contre l’arbitraire, et avec eux un bon paquet de droits fondamentaux et de citoyenneté garantis par la Constitution sont jetés aux orties. Au nom de la pandémie et de l’éradication de la Covid-19

Aucune description de photo disponible.

LHK

Compléments d’information

Euthanasie au Rivotril des personnes âgées. Dr Delépine

Dr. Nicole Delépine, cheffe du service d’oncologie pédiatrique à l’hôpital de Garches.

Extraits de l’étude britannique

Répartition du nombre de patients hospitalisés en fonction des jours qui séparent de la vaccination

Représentations des hospitalisations en fonction du temps qui sépare de la vaccination. L’étude retient 4 périodes de temps. 3 périodes comptent 7 jours, puis la dernière représente une période de plus de 21 jours après la vaccination.

Figure 5 Histogramme en fonction du nombre de jours qui sépare la date de vaccination et celle de l’admission à l’hôpital. Distribution des effectifs représentée par 4 couleurs pour 4 périodes. A: tous les patients, B: PCR positif uniquement

Distribution des effectifs en fonction du temps entre la date de vaccination et l’apparition de symptômes

Figure 6 Résultats pour les patients vaccinés ventilés en fonction du temps écoulé entre la vaccination et l’apparition des symptômes. Tous les patients ont présenté un résultat positif à la PCR. La population a été filtrée pour éliminer les patients asymptomatiques et les admissions 30 jours avant le 10 avril pour permettre une période de suivi de 30 jours. Seuls les patients présentant des symptômes après la vaccination ont été inclus. A gauche, l’espace représente les patients qui ont commencé à avoir des symptômes à moins de 21 jours de la date de vaccination. Au-delà, la représentation est celle de droite.
Les 10 gradations à gauche correspondent aux divers groupes répartis en fonction du niveau de vulnérabilité des patients. Le niveau 1 représente les patients les plus à risque. Nous n’avons pas compris où se situaient les personnes vaccinées dans un EMS/EHPAD. Nous avons vu qu’en France et en Suisse, les personnes appartenant à une certaine catégorie d’âges étaient maintenues dans leur foyer et n’étaient pas hospitalisées. Si cela devait être le cas en UK, cela signifierait que les chiffres présentés là sont inférieurs à la réalité. Nous voyons que les personnes appartenant aux 2 groupes les plus vulnérables présentaient un nombre de décès importants. Cela confirme que le risque de décès dans les homes a pu être important chez les personnes très âgées que l’on a vaccinées.

*Conor Egan, Stephen Knight, Kenneth Baillie, Ewen Harrison, Annemarie Docherty, Calum Semple https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/982499/S1208_CO-CIN_report_on_impact_of_vaccination_Apr_21.pdf

24 réflexions sur “[MàJ]Les personnes vulnérables semblent pénalisées par le vaccin. Pourquoi persister? Sont-ils devenus des indésirables?

  1. l’euthanasie à grande échelle ? Les caisses de retraites et l’assurance maladie se frottent les mains (micron en sera récompensé)

  2. Comme tout le monde une personne âgée non vaccinée estimée a priori vulnérable, voire dangereuse et à éviter , est blanchie de tout soupçon si elle a été testé négative.

    A supposer que le prélèvement soit très bien fait (sans abîmer le cerveau) et bien analysér (1 fois sur combien ?) peut-on affirmer que, dans les mêmes conditions, elle peut être réellement positive (ce qui ne veut pas dire condamnée à mort) dans les « 72 heures » qui suivent ?

  3. Fatiguée des commentaires  » pro- vaccins  » brainstorming perpétuel et culpabilité cultivée en permanence .
    presque toutes les personnes qui résistaient autour de moi sont
    rentrés sagement dans le cercle des soumis !
    Je tiens encore tête mais face aux pressions familiales maquillées lors de propos concernant le virus , vais-je encore RESISTER ?
    Je suis effarée de constater que la majorité ne prennent pas connaissance de toutes les données pour et contre et se fient aux statistiques , aux commentaires des scientifiques  » bien briefés  » pour abonder dans le sens des politiciens et fournisseurs de vaccin protégés en cas d’effets secondaires graves .

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  6. Bonjour Liliane,
    une analyse des tests PCR pat le laboratoire d’un hôpital en Slovaquie déclare, photos à l’appui) que les extrémités des écouvillons des tests PCR sont composés de nano tubes remplis d’hydrogel DARPA . On leur adjoindrait également du lithium.
    Lors du test PCR, les tiges se cassent et libèrent l’hydrogel. Celui-ci est supposé alors se diriger vers l’hypophyse par attraction électromagnétique et la détruire. Des études ont montré que le choix des adjuvants de l’hydrogel permettait de choisir différentes cibles.

    L’hydrogel DARPA est à la base conçue comme une nano antenne, un transducteur entre les ondes électromagnétiques (5G) et la cellule.
    Les vaccins contiendraient également de l’hydrogel DARPA et du lithium en plus des informations génétiques.
    Avez-vous des informations à ce sujet ?

    L’analyse et les photos sont détaillés dans le pdf :
    https://www.golokaproject.org/documentfiles/Analysis-of-test-sticks-from-surface-testing-in-the-Slovak-Republic.pdf
    Un article a été publié par un journal néerlandais : https://eindtijdnieuws.com/breaking-news-na-medische-analyse-pcr-tests-blijken-hulpmiddel-te-zijn-voor-genocide/
    Il a été repris par un site :
    https://prepareforchange.net/2021/04/24/from-slovakia-hospital-covid-pcr-tests-found-to-be-tool-for-genocide/

  7. @ Josephine: resistez ! Resistez encore. Votre vie et votre santé valent bien plus que l’avis, si peu éclairé, de votre entourage. Personnellement, il est hors de question de me faire enfiler cette saloperie (et je pèse mes mots) dans le corps pour un éventuel voyage ou d’éventuelles vacances que je ne suis même pas sûr de pouvoir faire une fois empoisonné. D’autant plus que le forcing actuel pue la pirouette de l’été qui annoncera aux péquins naïfs qu’en fait, le vaccin ne changera rien. Si la pression est trop forte, vous n’avez qu’à dire que votre vie médicale ne concerne que vous et que vous vous êtes fait vacciner. Un pieux mensonge dans le fond. Mais personne n’a le droit de faire pression sur vous pour cela. D’ailleurs, si j’en crois les énormités de l’OFSP (qui n’en n’est pas à son coup d’essai), seuls 11% de la population est vaccinée. Nous sommes donc encore 89% avec vous. Les journalistes pourront continuer de vomir leurs mensonges en arguant de: « l’opinion publique », ou encore des « milieux du tourisme », la vérité sortira toujours à la fin et, franchement, là, je les plains.

  8. @Joséphine: oui pareil dans mon entourage pro, les gens sont hypnotisés par la propagande… c’est d’ailleurs à ça que sert une propagande hahaha. Tout ceci va finir en guéguerres familiales, professionnelles entre lèches-culs soumis et instruits éclairés, puis en guerre civile si ça continue. Collabos et résistants WW2 version 2020. Perso vaccin pas question, me battrai juridiquement et même physiquement si il le faut.

  9. @Pierre Michel
    Impossible de dire que vous êtes vacciné si vous ne l’êtes pas, car les donnés sont enregistrées. Application sur les stupides téléphones portables, codes QR, etc.
    Et je suis entièrement d’accord avec vous : la « vaccination » ne changera rien. Elle ne rendra pas la liberté. Il y aura des nouveaux variants, des nouvelles injections. Le cercle infernal.
    Mais la gouvernance mondiale aura atteint son but : surveillance totale de la population, tout le temps et partout.

  10. @ Seb, merci pour cette info.
    On apprécie le commentaire édifiant : « Ce n’est pas lié à un défaut de protection lié à un vaccination récente ». Alors, de quoi sont-ils malades, si le « vaccin » n’a pas de défaut de protection ?
    Bizarre, ils n’ont pas sorti la théorie d’un xième nouveau variant ? C’est une ficelle assez facile à tirer pourtant…
    Ils ne diraient surtout pas que ce sont les injections qui provoquent cette recrudescence. On le constate dans tous les pays qui ont massivement déployé cette expérimentation. Et bien entendu, ce ne peut être des effets secondaires…

    La vérité et la réalité : cette expérimentation appelée « vaccination » rend malade et tue !

  11. Article beaucoup trop long, on est dans l’urgence, on n’a pas le temps de perdre 1h pour lire un tel pavé

    Je note quand même ceci, en ayant parcouru l’article
    « Un nombre indéterminé de vaccinés porteurs de la Covid »
    Pas vraiment vrai.
    On est porteur (sain ou pas) du virus SARS-COV2, et non pas du COVID.
    On contracte (ou pas, ce n’est pas obligatoire) le COVID, en étant porteur du SARS-COV2.

  12. @blabla. Personne ne vous oblige à venir perdre votre précieux temps.
    Quant à votre commentaire, il n’apporte aucune valeur ajoutée. Vous pinaillez sur la forme, et rien sur le fond. Donc un non-évènement.

  13. Blabla a raison pour ce qui est de la forme qui parfois altère l’efficacité du fond qui est effectivement intéressant pour certains, mais mériterait, SVP, un résumé non déformant pour les gens de bonne volonté (tel des élus municipaux)surchargés.

    Mais il faut dire la covid et même probablement les diverses covid 2021, et plus la covid 19

    S’agit-il toujours d’ailleurs du SRAS Cov 2 quand ce n’est pas une grippe ?

    Il importe impérativement d’avoir constamment le souci du juste mot pour la juste chose. Le souci des mots pesés pour éviter d’augmenter , voire pour contribuer à réduire, les maux pesants.

    A côté de cela si les humains ont généralement besoin de mots pour penser, il ne faut pas laisser les mots penser pour nous. Or c’est hélas une habitude très répandue, y compris chez ceux qui nous représentent et/ou gouvernent, ce qui a entraîné, entraîne et entraînera encore bien des mots, mais surtout des maux.

  14. @Sophophile, Merci pour votre commentaire. Je confirme votre constat. Ceci dit, dans la mesure où je n’ai pas d’équipe, je cumule les activités qui vont de la recherche jusqu’à la diffusion du message en passant par le déchiffrage de matières qui me sont étrangères. Ce que je suis en train de dire, c’est que je dois apprendre moi-même pour pouvoir faire avancer l’analyse.
    J’ai donc 2 possibilités: ou je garde les infos pour moi et je les sors de temps en temps sous forme de livres, ou je prends du temps pour réécrire (oui on ne peut corriger la forme sans réécriture. Du temps où je publiais dans les journaux officiels la séquence « forme » et contrainte de nombre de caractères étaient chronophages. J’ai du coup arrêté…) et faire des chapeaux/résumés, et alors il faut penser à diviser par x le nombre de publications.
    J’ai pris l’option d’avancer et de partager au fur et à mesure mes découvertes. C’est un choix critiquable mais que j’assume car je pense que dans les prochains mois (max qq années), ce genre de sites ne survivra pas. Il sera tôt ou tard censuré et moi avec.
    Je suis donc dans une espèce de course contre la montre car je pense/espère que qq chose se passe d’ici là…
    PS: J’ai horreur de dire la Covid. Il n’y a pas de raison que cela soit plus la que le… En principe je dis le et de temps en temps je fais un effort pour mettre un la. C’est vrai que ce n’est pas très bien, mais je le fais presque exprès.
    Côté SARS-Cov-2, je me donnais bcp de peine au début de la crise pour utiliser ce mot car mal à l’aise avec Covid au féminin, Mais depuis qu’il y a tous les variants…

  15. Vous faites un travail très appréciable qui mérite notre reconnaissance.

    Mais soyons logique : on ne dit pas LE maladie

    Et voilà qu’on nous démontre presque que la covid, si, seulement elle est unique, est plus le résultat plus ou moins grave d’une attaque du système sanguin que des poumons

    En fait, sauf erreur, NOUS N’AVONS PAS TOUS
        – le même patrimoine génétique
        – le même passé médical
        – la même qualité sanguine
        – les mêmes activités physiques
        – les mêmes modes alimentaires
        – les mêmes …..  les mêmes .…

    DONC PAS LES MÊMES REACTIONS
       – face à l’agression d’un des plus de 1000 mutants variants virus
               plus ou moins virulents
       – face à l’agression d’une injection génomique
               ou d’un vaccin
    .

  16. Pingback: A la découverte des vaccins autodisséminés – La Voix de Dieu Magazine

  17. @Jean-Marie GLANTZLEN

    On dit le SIDA, le cancer, le choléra, les oreillons, un zona.

    Et la langue française appartient à tout le monde, c’est l’usage qui établit une norme – qui change parfois du reste selon les époques.

    @Sophophile

    Vous pouvez établir vous-même ces résumés à l’intention des députés et autres décideurs, rien ne vous en empêche. Mais bon, il existe de très nombreux bilans sur de très nombreux sujets relatifs à la crise Covid. Selon moi, ce n’est pas que nos députés ne savent pas lire 10 lignes. Le problème est ailleurs.

  18. « Qui trouve globalement rationnelles et louables nos organisations et pratiques sociétales, en particulier sur le plan politique et économique, et à fortiori environnemental, ne l’est guère »

    Merci à notre hôtesse pour le lien

    Je ne suis qu’un modeste francophone cherchant à être logique sur cette planète globalement incohérente , avec le vieux souci du juste mot pour la juste chose. Le souci des mots pesés pour éviter, voire pour contribuer à réduire, les maux pesants. Un combat militant qui en vaut d’autres, voire conditionne le succès des autres.

    Vos contre-exemples, Charles, ne tiennent pas la route. Désolé, pas le temps de développer vu l’urgence liée à la croissance des diverses covid 21, surtout chez les injectés, et la nuisance billo-klausienne pour un modeste vieux multi-militant inguérissable.

    Ce qui amène à proposer d’ améliorer la jolie trouvaille d’un lecteur de Jean-Dominique Michel «« Ils devaient combattre la pandémie pour protéger la population. Ils ont combattu la population pour protéger la plandémie », et devrait faire écho, Charles, à votre judicieuse allusion malheureusement réaliste.  

    Même si on en dit du mal parfois justifié, je préfère l’avis des « immortels » qui ont poussé assez loin leurs études et qui ont beaucoup lu à l’usage qui serait imposé par une majorité de mougeons, voire de journalistes parfois sans culture eux aussi.

    Signé : Un septuagénaire bien avancé, accessoirement inventeur du mot « recyclerie » en 1989, maladroitement plus ou moins supplanté par un « ressourcerie » québécois ne désignant pas la même chose chez nos cousins également francophone d’Outre-Atlantique

  19. Pingback: À quoi sert la vaccination de masse ? De l’infertilité au transhumanisme… – La Voix de Dieu Magazine

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