[2ème MàJ] Un timing troublant qui consista à compliquer l’accès à l’hydroxychloroquine.

https://documedis.hcisolutions.ch/2019-01/api/products/image/PICFRONT3D/productnumber/15033/350

Plus vous cherchez à comprendre l’affaire du traitement du Coronavirus, et plus vous décelez des éléments pour le moins troublants.

 Après avoir classé le pape de la virologie dans la catégorie Fake news par des pigistes de journaux sous le contrôle de la classe politique, voilà qu’une volte-face s’opère sous la pression du net qui s’est fait le porte-voix du professeur Raoult.

Voici un extrait d’article. Edifiant! Nous lisons:

« Comme CheckNews l’expliquait dans un précédent article, le débat est parti en France de l’annonce du professeur Didier Raoult, de l’IHU Méditerranée Infection à Marseille. Celui-ci, dans de nombreux médias, s’est enthousiasmé après la publication de travaux chinois, avant que le ministère de la Santé ne prévienne contre cette utilisation.

Trois semaines plus tard, Didier Raoult a pourtant annoncé que son projet de recherche avait été accepté : 24 malades seront traités à l’hydroxychloroquine à l’hôpital de la Timone à Marseille. En revanche, la chloroquine ne figure pas parmi les quatre traitements étudiés dans le cadre de l’essai clinique européen qui vient d’être lancé, comprenant 3 200 patients, dont 800 en France.

 

L’épidémiologue de la Pitié Salpêtrière Alexandre Bleibtreu expliquait à CheckNews fin février : «Ce que l’on peut dire à l’heure actuelle, c’est que la molécule est active sur le virus in vitro. Mais il n’y a aucune donnée scientifiquement prouvée soutenant l’usage de la chloroquine chez les malades et entraînant un bénéfice chez les malades. Peut-être que des données valables vont être publiées, mais aujourd’hui, on ne peut absolument pas recommander l’usage de la chloroquine si ce n’est en s’appuyant sur des positions non documentées.» Sur Twitter, il est revenu sur sa position en fin de semaine dernière, annonçant que de nouvelles données montraient une efficacité, et que la molécule allait être utilisée sur des patients atteints du nouveau coronavirus à la Pitié Salpêtrière : “Nous allons débuter le traitement par plaquenil chez nos COVID+ à la Pitié. J’adore l’humour et critiquer les dogmes. Je me l’applique donc à moi même. Je penses avoir eu suffisamment tord [sic] pour devenir Chloroquiniste ascendant Raoultien. »

https://www.urgence-france.com/2020/03/17/urgent-la-pitie-salpetriere-a-paris-passe-ses-patients-sous-chloroquine/

Du coup, Plaquenil est le nom du médicament qui contient cette molécule connue et bien maîtrisée par la sphère médicale. Le nom de son principe actif est l’Hydroxychloroquine.

Plaquenil
Présentation de ce médicament
30 comprimés sous plaquettes (PVC/Aluminium).
Aspect et forme
Comprimé pelliculé.
Composition du médicament PLAQUENIL
Principe actif
Comprimé pelliculé
Hydroxychloroquine
200 mg *
* par dose unitaire
Principes actifs: Hydroxychloroquine
Excipients à effets notoires ? : Lactose monohydraté, Lactose monohydraté
Autres excipients: Povidone, Amidon de maïs, Magnésium stéarate, Pelliculage : Hypromellose, Macrogol 4000, Titane dioxyde
 
Eh bien figurez-vous que dans ma tentative de comprendre un minimum les enjeux vitaux qui se jouent, je suis tombée sur ces textes que je vous invite à découvrir absolument.

Hydroxychloroquine agence santé https://lilianeheldkhawam.com/wp-content/uploads/2020/03/hydroxychloroquine-agence-santc3a9.pdf

 
Le Directeur général de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation,de l’environnement et du travail ANSES émet un avis le 12 novembre 2019 portant sur une «demande d’avis relatif à une proposition d’arrêté portant inscription sur les listes des substances vénéneuses»
Il y est dit: « L’Anses a été saisie le 8 octobre 2019 par l’Agence nationale de sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé pour un avis sur une proposition d’arrêté portant inscription de la hydroxychloroquine sur la liste II des substances vénéneuses. »
Sous le point 3 de l’avis, nous lisons: » ANALYSE ET CONCLUSIONS DE L’ANSES. Cette proposition d’arrêté envisage l’inscription sur la liste II dela substance: hydroxychloroquine. En effet, la chloroquine substance de la même famille présente un potentiel génotoxique qui pourrait être similaire pour la substance hydroxychloroquine. Des études ont été demandées aux titulaires des AMM des médicaments concernés afin d’évaluer le risque sur la santé humaine. »

Voilà donc que subitement cette molécule inquiète la sphère politico-sanitaire alors même qu’elle semblerait avoir rendu durant de longues décennies bien des services. Tout étonnant est que dans sa demande du 8 octobre 2019, la directrice des affaires juridiques et réglementaires de l’ANSM, Agence nationale de sécurité du médicament, demande à l’ANSES se réfère à la médecine vétérinaire pour formuler sa demande:

 
Coronavirus arrêté
Or, dans sa conclusion, l’ANSES admet que « Cette substance active n’entre pas dans la composition de médicaments vétérinaires autorisés, son classement est donc sans impact en médecine vétérinaire. »
 
Ce classement n’est rien d’autre qu’une forme élégante d’embargo mis en place avant même la réalisation de tests.Curieuse décision alors que cette molécule aurait 70 ans! Mais voilà, le classement sous substances vénéneuses va jeter le discrédit sur la molécule lorsque le professeur Raoult, surpris par une forme d’hystérie politico-médiatique, va tenter de rassurer et de la préconiser en  traitement.
 
Ce qui est encore plus troublant, c’est que le début de l’épidémie chinoise a commencé officiellement le 17 November 2019. Cela nous ramène à 5 jours après que l’ANSES ait approuvé la mise de la molécule hors de portée du grand public français!
https://www.msn.com/en-us/news/world/the-first-covid-19-case-originated-on-november-17-according-to-chinese-officials-searching-for-patient-zero/ar-BB119fWJ

Au fait l’ANSES dépendait à ce moment de Madame la ministre Agnès Buzyn, partie brusquement il y a quelques semaines…

Liliane Held-Khawam

A lire ou relire: https://lilianeheldkhawam.com/2020/01/26/la-sulfureuse-cooperation-franco-chinoise-a-wuhan-challenges/

Remarque

Inquiétez-vous pour vos aînés qui sont coupés du monde en ce moment. En Suisse, c’est l’ancienne ministre de la finance qui préside à la gestion de leur destinée. Or, leur entretien représente un gros budget… alors qu’ils sont improductifs…

Compléments

  • Je vous ai alertés sur l’organisation de la pénurie du médicament. Voici une décision qui confirme mes précédentes alertes:
https://www.centrepresseaveyron.fr/2020/03/17/covid-19-lansm-encadre-la-vente-de-paracetamol,8805889.php
  • Allemagne, taux de mortalité moindre  qu’en France ou en Suisse:

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-pourquoi-le-taux-de-mortalite-est-il-aussi-faible-en-allemagne_3871743.html#xtor=AL-79-%5Barticle%5D-%5Bconnexe%5D

  • 19 mars 2020

32 réflexions sur “[2ème MàJ] Un timing troublant qui consista à compliquer l’accès à l’hydroxychloroquine.

  1. Le paracétamol est hautement toxique et donc nuisible à la santé, comme l’ensemble de la médecine allopathique (hormis service des urgences et orthopédique).
    Portez-vous bien.

  2. Ce qu’ils veulent c’est nous refilez à terme un vaccin et en attendant ils font tout pour que l’épidémie s’amplifie et venir ensuite en sauveurs auprès de populations terrifiées.

    Donc pas étonnant que ce que propose le Pr Raoult ne les arrange pas du tout et ils ont travaillé en amont bien avant le début de l’épidémie pour faire en sorte que l’hydroxychloroquine soit cour-circuitée.

    Relisez le dernier entretien qu’a donné Francis Boyle à Great Game India.

    Extrait :

    «  »Vous ne pouvez tout simplement pas croire quoi que ce soit du gouvernement chinois, de l’OMS, des CDC. Ce sont tous des menteurs parce qu’ils savent ce qui se passe ici et vous devrez donc le découvrir le plus rapidement possible. Mais à mon avis, à partir de maintenant et je suis tout à fait prêt à examiner d’autres preuves à ce sujet, il me semble qu’il s’agit d’un agent de guerre biologique génétiquement modifié qui a fui de Wuhan et qui a des propriétés de gain de fonction qui peut le rendre plus mortel. Je pense qu’ils ont fait probablement quelque chose avec le SRAS pour le rendre beaucoup plus mortel et plus contagieux.

    En ce moment, si vous regardez l’article du Wall Street Journal, les grandes sociétés pharmaceutiques prennent tous leurs médicaments sur l’étagère et disent bien voyons si cela fonctionne. Ce qui est absurde. D’accord. Les scientifiques disent, eh bien, nous pouvons vous obtenir un vaccin peut-être dans deux à trois mois. Mais ils ne seront pas testés. Donc, ce que nous savons, cependant, c’est que le vaccin Pirbright a été breveté. Mais je ne pense pas que je prendrais ces vaccins. Non, tu n’as aucune idée de ce qu’il y a dedans. Vous serez le cochon d’Inde pour les grandes sociétés pharmaceutiques et tout le monde pense qu’ils vont gagner ici beaucoup d’argent. Je garderai donc mon œil ouvert sur ce sujet et son évolution, mais je ne ferais pas confiance à ce qu’ils essaient de vendre en ce moment. Ils sortent simplement ces choses de l’étagère.

    S’ils trouvent quelque chose dans deux à trois mois, cela ne sera pas testé conformément au protocole scientifique normal. Ça va donc être un tournage de merde. Cela pourrait ne pas vous aider car ils utiliseront pour ce vaccin (ces vaccins génétiquement modifiés à base d’ADN) un coronavirus vivant et le colleront là-dedans et vous donneront, seulement sur la théorie, une immunité. C’est ainsi que beaucoup de ces vaccins ont fonctionné, c’est ce qui s’est produit avec le vaccin contre Ebola et qui a créé la pandémie là-bas en Afrique de l’Ouest. Ils testaient un vaccin sur des Africains noirs pauvres, comme d’habitude, et ce vaccin contenait du virus Ebola vivant, ce qui leur a filé le virus Ebola. Encore une fois, je serais très prudent même s’ils proposent ces vaccins dans deux à trois mois. Très prudent. Pourquoi voudriez-vous injecter le coronavirus vivant en vous ? »

    https://translate.googleusercontent.com/translate_c?depth=2&rurl=translate.google.com&sl=auto&sp=nmt4&tl=fr&u=https://greatgameindia.com/transcript-bioweapons-expert-dr-francis-boyle-on-coronavirus/&usg=ALkJrhiRGCX0zvRFYJk8v91g05D2uZo7LA

    https://translate.googleusercontent.com/translate_c?depth=2&rurl=translate.google.com&sl=auto&sp=nmt4&tl=fr&u=https://greatgameindia.com/coronavirus-coverup/&usg=ALkJrhj8iMaYzUg0_alOdmzS8DdekNRo3Q

    https://translate.googleusercontent.com/translate_c?depth=2&rurl=translate.google.com&sl=auto&sp=nmt4&tl=fr&u=https://greatgameindia.com/wuhan-institute-of-virology-epicentre-of-coronavirus/&usg=ALkJrhgTN4iOgT8VynWWf3e-xlFcki6tZg

    Le gros problème dans cette affaire, c’est qu’elle devient de plus en plus compliquée et que l’on ne sait plus trop qui fait quoi car que ce soit le gouvernement chinois ou le big pharma anglo-saxon, ils ont tous intérêt à commercialiser un vaccin qui rapportera très gros.

    http://rustyjames.canalblog.com/archives/2020/03/11/38093666.html

    Et un vaccin qui permettra aussi beaucoup d’autres choses que la Fondation Gates et ses amis projettent de faire depuis longtemps.

    http://rustyjames.canalblog.com/archives/2020/03/13/38098586.html

    Donc le seul qui me parait crédible c’est bien le Pr Raoult qui lui préconise un médicament qui est bien connu depuis longtemps et n’est pas onéreux. Et surtout ne va pas comme un vaccin nous inocculer des saloperies.

    Alors qu’en France on ne teste que les personnes hospitalisées par le biais d’un médecin car cela représente un coût, voici ce que les Vietnamiens ont réussi à faire en très peu de temps.

    http://rustyjames.canalblog.com/archives/2020/03/05/38077751.html

    Pendant que nos vieux crèvent du Coronavirus, il faut savoir que Macron vient de débloquer 50 millions d’euros pour l’aide humanitaire en Syrie où les faux « rebelles » résistent encore notamment à Ildib. Incroyable mais vrai !

    https://fr.sputniknews.com/international/202003171043309918-la-france-debloque-50-millions-deuros-pour-laide-humanitaire-en-syrie-selon-lelysee/

    Au regard de tout cela, en effet, toute cette affaire est bien éminemment politique.

  3. @Claude. Merci pour le lien. Je reviens donc à ce que je disais: on n’a pas soigné les gens!!!

  4. Merci Liliane
    voici peut être aussi quelque chose qui pourrait aussi aider les gens et apaiser la panique
    on verra si on parle de ce traitement et si tout est mis en oeuvre pour le distribuer rapidement
    gors ?? mais vu ce qui se passe un gros doute est plus que de mise!
    Avigan Favipiravir Treatment Reduces the Threat
    China has announced that the Japanese drug, Avigan Favipiravir (T-705) which is a broad-spectrum inhibitor of viral RNA polymerase, proved to be successful in helping the fight against this coronavirus.
    le gros problème comme toujours est qui et pourquoi il y a opposition à tout ce qui est pourrait être bénéfique pour les populations.

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  9. Gvt cynique ? Moyen comme un autre d’augmenter la mortalité précoce des personnes âgées pour ne pas à avoir à verser les pensions . . .

  10. On ne cache rien…..On vous dit Tout.
    La Chloroquine et autres Nivaquines essenciellement des médicaments ancien développés comme anti-malaria.
    Nous savons tous? que la médecine comme la guerre sont des sources de profits considérable.
    Mais sans profit, il n’y aurai plus de maladie.
    N’étant pas historien, j’abrège l’histoire de la malaria en rapport avec la guerre du Vietnam.
    Extraordinairement ce doc à été diffusé:https://www.youtube.com/watch?v=W6TgP5RlsDQ
    Je vous conseille de gagner du temps (39′) en le regardant.
    L’Artémisia Annua est une plante simple mais « interdite » en France……..
    Je ne pense que par simple analogie, sans connaissance.
    L’extrait chimique de cette plante est efficace mais pas suffisante. Dans le cas de la malaria il faut continuer le traitement…….c’est un peut comme face à votre banque.
    Cette plante fait partie de la famille des Armoises, voyez ici:https://blog.kokopelli-semences.fr/presentation-de-lartemisia/
    Tu sais, les Artémises c’est un peut partout en montagne et en plaine, les Gentiannes, les Génépis et autres ordinaires.
    Il nous faut rester dans les « simples » hors cette fumisterie de technologie.
    Dans les herboristeries Française c’est interdit. En Suisse, c’est hors de prix.
    À moindre coût vous le semez un peut partout.
    Sinon, vous le trouvez dans les herboristeries un peut « Chinoises » sous le non de Quing Hao.
    Cultivez vous?

  11. Je reconnais qu’il y a des faits qui peuvent paraître troublants concernant le traitement initial réservé au professeur Didier Raoult par ses pairs et par la presse « mainstream » (Le Monde, Libé, Le Point) à propos de ses affirmations sur l’efficacité de la chloroquine dans le traitement du Covid-19. D’autre part, on peut effectivement se poser des questions quant à la concommitance du classement par l’Anses de l’hidroxychloroquine sur la liste II des substances vénéneuses avec l’apparition de la pandémie.

    La position de la « presse aux ordres », comme elle est décrite en d’autres termes dans l’article, à l’encontre du professeur Raoult n’est pas étonnante. Il est de notoriété publique que leur « Decodex » et autre « CheckNews » fonctionnent beaucoup mieux pour dénoncer des informations qui contredisent les versions officielles que l’inverse et la relation incestueuse entre le gouvernement et le 4ème pouvoir en France a été portée à un stade paroxystique avec l’élection de Jupiter.

    La « controverse scientifique » qui opposait jusqu’au début mars le professeur Raoult et ses pairs (tels que le docteur Alexandre Bleibtreu) n’est pas plus incompréhensible. Le monde médical (dont je ne fais pas partie, donc je m’exprime en tant que « candide » et non en tant qu’expert!) est soumis à des protocoles stricts, entre autre lorsqu’il s’agit de l’utilisation des médicaments. A mon humble opinion c’est très heureux qu’il en soit ainsi! Dans le cas qui nous préoccupe, j’interprète la situation de la manière suivante. Le professeur Raoult avait, disons jusqu’à fin février un coup d’avance sur ses collègues spécialistes en épidémies ou en infectiologie (expériences vécues sur les SARS-COV, étude de la lutte contre l’épidémie en Chine, appréciation plus réaliste de la situation, etc…). Pour mémoire, je rappelle que tant que la situation n’avait pas dégénéré en Italie, on nous parlait d’une « grippette » à peine plus vigoureuse que l’influeneza annuelle! Et je me pose la question si la stratégie de l' »immunité collective » n’était pas en réalité la politique communément admise (il faut juste être BoJo pour le proclamer sur les toits!) jusqu’à ce que l’on se rende compte dans les sphères dirigeantes qu’elle allait provoquer une crise sanitaire et un nombre de vicitimes intolérable…Bref, je conçois tout à fait que les hommes de terrain s’en soient tenus aux règles déontologiques alors que le professeur Raoult a appréhendé avant les autres le degré d’urgence et que pour essayer d’éviter ce que nous vivons actuellement, il ait estimé que le ratio risque/bénéfice de l’utilisation de la chloroquine comme traitement du Covid-19 était plus adéquat que les stratégies en place.

    En revanche, je m’élève vigoureusement contre cette partie de l’article:
     » Mais voilà, le classement sous substances vénéneuses va jeter le discrédit sur la molécule lorsque le professeur Raoult, surpris par une forme d’hystérie politico-médiatique, va tenter de rassurer et de la préconiser en traitement. »
    En France, selon le Code de Santé Publique (CSP), les substances classées sur la liste I ou II des substances vénéneuses signifient que les médicaments qui en contiennent sont soumis à ordonnances médicales. La liste II indique que que l’ordonnance médicale peut avoir une validité jusqu’à 12 mois avant de devoir être renouvelée.
    Alors il faut effectivement investiguer plus avant pour connaître la raison de la saisine no 2019-SA-0175 de l’ASNM du 8 octobre 2019 (https://www.anses.fr/fr/system/files/ANMV2019SA0175.pdf) , mais à ce stade faire péremptoirement un rapprochement avec le Covid-19 est prématuré, de mauvais aloi et tient du complotisme que l’on retrouve sur le site d’Alain Soral!

  12. @Claudio, je ne vous remercie pas pour « mais à ce stade faire péremptoirement un rapprochement avec le Covid-19 est prématuré, de mauvais aloi et tient du complotisme que l’on retrouve sur le site d’Alain Soral! ».
    Je vous dis qd même pourquoi je l’ai écrit. Plusieurs personnes m’ont répété que cette molécule était toxique, voire dangereuse. Il ne faisait que répéter ce qu’ils entendaient à la télé. Or,ce médicament était en vente libre jusqu’à récemment.

  13. Rajoutez au timing de la décision de l’Anses, pour l’hydroxychloroquine interdite au grand public, le timing de la réunion à l’Hôtel Pierre le 18/10/2019 à New York, sous l’égide du World Economic Forum de DAVOS, de la Fondation Bill & Melinda GATES, et du JOHN HOPKINS Center for Health Security, d’un exercice de simulation d’une pandémie au coronavirus. Cette réunion simulait les questions non résolues que poseraient une telle pandémie, mais scientifiquement plausibles. On ne peut que s’étonner de la date et de l’objet de cette réunion 1 mois avant l’annonce du début de la crise du coronavirus en Chine…Vous pouvez consulter les éléments de cette réunion à l’adresse:
    http://centerforhealthsecurity.org/event201/about

  14. Pingback: Did Agnes Buzyn classify chloroquine in “poisonous substances” in January? | Web24 News

  15. @LHK, j’entends bien que ce médicament, le Plaquenil 200mg, était légalement en vente libre en France jusqu’au 13 janvier 2020.

    Toutefois:
    1) vous le mentionnez vous même, la saisine de l’ANSM requérant le classement de l’hidroxichloroquine en classe II des substances vénéneuses date du 8 octobre 2019, soit plus d’un mois avant le premier cas avéré de Covid-19 en Chine.

    2) la quinine et la chloroquine sont des molécules très proches de l’hidroxychloroquine et elles sont classées ainsi depuis 1999.

    3) Ce nouveau statut de l’hidroxychloroquine en France n’a vraisemblablement pas modifié (et en fait je l’espère au plus haut point) la réaction des hôpitaux et médecins quant à l’utilisation de ce médicament dans le traitement du virus suite aux communications du professeur Raoult.

    4) Voici le dernier article de CheckNews à ce sujet qui donne la raison pour laquelle le statut de l’hidroxychloroquine a été révisé: https://www.liberation.fr/checknews/2020/03/21/agnes-buzyn-a-t-elle-classe-en-janvier-la-chloroquine-dans-les-substances-veneneuses_1782466

    Cette pandémie est une catastrophe sanitaire et économique en raison de l’impréparation de nos gouvernants qui conduisent les affaires exclusivement sur la base des indicateurs de croissance. Cette crise démontre la fragilité de notre société qui est incapable de gérer une crise sanitaire avec une inertie de 3 à 4 semaines, soit le temps d’incubation et de dégénération de l’état des patients les plus atteints. (Je ne donnerai même pas mon sentiment sur le traitement de la crise environnementale……).

    Bref, je suis plus choqué et révolté par le fait que l’Europe n’ait pas de matériel pour protéger les soignants et la population, n’ait pas de réactifs pour procéder aux tests de dépistage du Covid-19, n’ait pas assez de lits hospitaliers, etc. que de la coïncidence du classement de l’hidroxychloroquine en substance soumise à ordonnance. Ne regardons pas que l’arbre qui cache la forêt!

  16. Que ce soit l’Europe ou la France, si on y ajoute les discours des politiques, on ne peut que constater leur irresponsabilité chronique, et l’absence de sanctions en rapport avec les morts qu’ils provoquent, par leur gestion catastrophique, aussi bien dans le domaine de la santé qu’au plan financier. Car, après la crise sanitaire, Micron a déjà annoncé qu’il allait falloir affronter la crise financière mondiale…Et on peut, là aussi ,se demander, quel est l’arbre qui cache la forêt ?

  17. Coronavirus suite:
    https://marcelle.media/2020/03/19/mais-qui-est-le-professeur-raoult/?fbclid=IwAR3M3y5h64hUhZDYMCn6sq3RHwLEsOzJ6xSdnSvlvHuQZ50m63xFRNn2Ypg
    Mais qui est le professeur Raoult, possible vainqueur du Coronavirus ?
    Par Hervé Vaudoit – Journaliste
    Covid-19 oblige, l’infectiologue Didier Raoult est au centre de toutes les conversations en France et dans le monde. Je fais partie des rares journalistes qui le connaissent bien et suivent son parcours (j’ai même écrit un livre sur son hôpital et les recherches sur les maladies infectieuses*). Portrait d’un médecin aussi génial qu’original.
    Avec sa crinière blanche, sa barbe broussailleuse et ses chemises improbables dissimulées sous son éternelle blouse blanche, le professeur Didier Raoult n’a pas franchement la tête de l’emploi. Sous ses airs de troubadour revenu de Woodstock en combi Volkswagen, se cache pourtant l’un des tout meilleurs scientifiques français et l’un des chercheurs les plus cités au monde. Las ! La piste thérapeutique qu’il a présentée pour combattre le Covid 19 a été qualifiée de « fake news » sur le site du ministère de la Santé il y a 3 semaines. Mais le ton du gouvernement et de la communauté scientifique est en train de changer !

    L’IHU Méditerranée Infection : une équipe de chercheurs d’envergure mondiale !
    Même s’ils collectionnent découvertes, récompenses et publications prestigieuses depuis plus de 30 ans, Didier Raoult et son équipe ont parfois du mal à être pris au sérieux en haut lieu. Mais son âpreté au combat lui permet souvent de rafler la mise au nez et à la barbe de ses détracteurs. L’épidémie de coronavirus en sera-t-elle une nouvelle illustration ?
    Révélé au grand public par ses chroniques dans « Le Point » et quelques livres à succès (1), le professeur Didier Raoult est avant tout un infectiologue et un virologue de réputation internationale. Sa carrière hors-normes, il l’a d’abord construite sur la recherche, avec à son crédit quelques découvertes majeures comme les virus géants (mimivirus, marseillevirus…), l’identification de plus d’une centaine de nouvelles bactéries pathogènes ou la mise en évidence du rôle de certains micro-organismes dans des maladies comme la fièvre Q, la maladie de Whiple, les endocardites ou les lymphomes non hodgkiniens. Mais Didier Raoult, c’est aussi et surtout un leader, un chef d’équipe – un chef de bande disent même certains de ses proches -, avec autour de lui une cohorte de scientifiques de très haut niveau qu’il a commencé à rassembler il y a plus de 35 ans et qui lui sont depuis restés fidèles. À ce noyau dur des débuts, il a toujours su rajouter de nouveaux talents, repérés au fil du temps parmi les étudiants qui se pressaient à ses cours et dans ses labos de la faculté de médecine de La Timone. Une réussite d’autant plus extraordinaire qu’elle ne s’est pas jouée à Paris, Washington, Londres ou Shanghai, mais bien à Marseille, où les équipes de chercheurs de niveau mondial ne sont tout de même pas légion.

    Un parcours hors norme !
    Né au Sénégal il y a 68 ans d’une mère infirmière et d’un père médecin militaire, Didier Raoult est devenu médecin plus par devoir que par passion. Débarqué à Marseille à l’âge de 10 ans, il en partira à 18 ans pour s’embarquer comme matelot sur un navire marchand, persuadé que son destin aurait le goût salé des aventures maritimes. Le temps de s’apercevoir que le travail en équipage gonfle les biceps mais nourrit
    L’Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée Infection
    peu l’esprit, et le voilà de retour sur le Vieux-Port, la tête et l’ambition en berne. Son père, qui avait déjà conditionné son autorisation d’embarquer à l’obtention préalable du baccalauréat, lui met alors le marché en mains : c’est médecine ou rien. « J’avais un bac littéraire. Aujourd’hui, je ne pourrais même pas rentrer en fac de médecine avec », s’amuse-t-il aujourd’hui. Une fois dans la place, le jeune Raoult se passionne. Et développe, au fil de ses études, un goût prononcé pour la recherche et pour les maladies infectieuses et tropicales, qu’il découvre à la fac puis durant son service militaire à Tahiti. Son premier labo de recherche, il le créé en 1984 après un premier exploit : la mise au point d’une procédure de mise en culture des bactéries très rapide et efficace. C’est avec cette « unité des rickettsies » qu’il commence à constituer son équipe. Michel Drancourt et Philippe Brouqui le rejoignent dès cette époque. Suivront Philippe Parola, Bernard La Scola, Jean-Marc Rolain, Pierre-Edouard Fournier, tous devenus professeurs et tous investis dans le grand œuvre de Didier Raoult : l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée Infection, un des six IHU créés ces dix dernières années, aujourd’hui en pointe dans de très nombreux domaines de recherche. Dont, bien sûr, le coronavirus, avec les espoirs de traitement efficace nés des travaux des scientifiques chinois et de l’équipe de l’IHU marseillais.
    À la tête d’un des 6 IHU créés en France !
    Pour en arriver là, Raoult n’a jamais cessé de se battre. Primo parce qu’il aime ça. L’affrontement, la confrontation, la controverse… sont pour lui des contextes stimulants. Son talent, ses connaissances et sa capacité à faire travailler les gens ensemble lui ont souvent permis de triompher. Et la carapace qu’il s’est fabriquée au fil du temps l’a toujours protégé des critiques et des mises en cause. « Il a un niveau d’estime de soi très élevé et très stable », confie un de ses proches pour situer le personnage, souvent décrit comme arrogant, cassant, voire méprisant par ses détracteurs. Il est vrai que pas grand monde ne l’impressionne et qu’il ne prend guère de précautions pour dire ce qu’il pense des uns et des autres, surtout de celles et ceux qui disposent d’un pouvoir que lui juge exorbitant ou illégitime. Son IHU à peine inauguré, il s’est ainsi affronté à Yves Lévy, alors patron de l’Inserm (2), qui est aussi l’époux de la ministre de la Santé de l’époque, Agnès Buzyn. Résultat : même s’il s’agit d’un des pôles de recherche les plus prolifiques du pays, Méditerranée Infection n’a pas le label Inserm. Pas plus qu’il n’a celui du CNRS (3), peu ou prou pour les mêmes raisons. Ce qui ne l’empêche pas de produire toujours de la bonne science. Et de donner ainsi des aigreurs d’estomac à tous ceux qui aimeraient le voir trébucher, à Paris mais aussi à Marseille, où son insolente réussite a toujours attisé les jalousies et entretenu les querelles de palais parmi les mandarins qui n’avaient ni son talent, ni ses capacités fédératrices, mais auraient adoré avoir ses moyens.

    Une crédibilité internationale …
    Didier Raoult s’est appuyé sur les travaux d’un de ses confrères chinois pour mettre au point un traitement qui a guéri la grande majorité des patients à qui il a été administré. Abonné aux revues scientifiques à comité de lecture les plus prestigieuses comme Nature ou Science, il y signe ou cosigne une centaine d’articles chaque année et figure ainsi systématiquement dans le trio de tête des chercheurs hexagonaux en termes de production scientifique. Sauf que son look, son franc-parler et son identité marseillaise l’ont toujours desservi. Lui s’en fiche comme d’une guigne. Car, quel que soit le sujet, les faits finissent souvent par lui donner raison, alors même que ses déclarations sont immédiatement battues en brèche par des armées de pseudo-experts. Qui ont peut-être du mal à admettre que des Marseillais puissent figurer parmi les meilleurs spécialistes mondiaux de l’infection.

    Mal aimé en France
    On l’a encore constaté fin février, lorsque Didier Raoult a présenté la chloroquine comme un traitement potentiellement efficace contre le coronavirus. Utilisée depuis le milieu du XXe siècle dans le traitement du paludisme, cette molécule très bon marché pouvait-elle être une arme décisive contre une nouvelle maladie virale ? « Certainement pas ! », ont affirmé en chœur tout une cohorte de médecins et experts autoproclamés à la radio et sur les plateaux de télévision. À commencer par le ministère de la Santé lui-même, qui a accolé l’étiquette « fake news » sur les annonces de Didier Raoult plus d’une journée durant, parce qu’un journaliste d’un grand quotidien national les avait qualifiées de la sorte. Trois semaines plus tard, patatras ! À accorder plus de valeur aux propos échangés devant les caméras qu’à l’analyse de l’un des infectiologues les plus réputés de la planète, le ministère de la Santé s’est littéralement pris les pieds dans le tapis. Tout comme le directeur général de l’assistance publique hôpitaux de Paris (APHP), qui n’avait pas de mots assez durs contre Didier Raoult fin février au micro des chaînes d’information en continu.

    Une parade face au Covid 19 ?
    Aujourd’hui, la prudence reste de mise en haut lieu, mais on se garde bien de formuler les mêmes commentaires méprisants. « Ce que je disais à ce moment-là n’a pas germé spontanément dans ma tête, sourit Didier Raoult. Cela s’appuyait sur deux choses : d’une part ma propre expérience, puisqu’ici, à Marseille, nous utilisons l’hydrxychloroquine dans le traitement des infections bactériennes depuis plus de 25 ans. D’autre part les travaux du professeur Zhong Nanshan, un de mes plus brillants confrères chinois, qui a évoqué l’efficacité de la chloroquine dans une conférence de presse le 17 février. » Sauf que, selon Raoult, « à Paris, ils ont beaucoup de mal à admettre que la France ne soit plus le phare de la science mondiale et que les chercheurs plus performants aujourd’hui, c’est en Asie du sud-est qu’on les trouve et plus en Occident. » Les déclarations de l’infectiologue chinois n’ont d’ailleurs pas été relayées en France.
    Un essai clinique plus tard, les résultats obtenus à l’IHU Méditerranée Infection recoupent ceux de Zhong Nanshan, confirmant ainsi l’efficacité de la chloroquine dans le traitement du coronavirus. Mieux : associée à un vieil antibiotique, l’azythromycine, la non moins vieille chloroquine a débarrassé du coronavirus plus 90% des personnes porteuses incluses dans l’essai clinique marseillaise. « Et cette combinaison des deux molécules, c’est nous qui l’avons inventée ! », souligne Didier Raoult, prêt à traiter tous les patients qu’on lui amènera pour finir de démontrer l’intérêt de ce cocktail médicamenteux.
    Pourquoi a-t-il fallu en arriver là pour que cessent les critiques et que les autorités françaises considèrent enfin que ses déclarations avaient du sens ?

    Guerre de positions
    « Le problème, indique l’infectiologue, c’est qu’intellectuellement, ils ont du mal à admettre qu’une nouvelle maladie, un nouveau virus, puissent être traités efficacement par des molécules anciennes qui ne coûtent rien, et pas par une nouvelle prouesse de la recherche pharmaceutique, très chère et très compliquée à industrialiser. »
    Raoult sait de quoi il parle. Depuis des années, il plaide pour une révision des modèles économiques de la santé, afin que l’ensemble des molécules existantes, créées pour la plupart au XXe siècle, soient considérées comme un patrimoine au service de l’humanité. « Ce n’est pas le cas aujourd’hui, se désole-t-il, car on abandonne les médicaments qui ne rapportent rien, même s’ils sont efficaces. C’est comme ça que plus aucun antibiotique n’est fabriqué en Occident et que nous avons régulièrement des pénuries sur des molécules très importantes, comme récemment la doxycycline, indisponible pendant 6 mois alors que nous en avons besoin au quotidien pour soigner les gens. »
    La question reste entière avec le coronavirus : si l’efficacité de la combinaison chloroquine/azythromycine se confirme, on pourra guérir tout le monde mais cela ne rapportera d’argent à personne. Un problème, vraiment ? ♦
    *IHU Méditerranée Infection – Le défi de la recherche et de la médecine intégrée. Ed Michel Lafon 2018.

    Bonus
    • Didier Raoult dans le comité scientifique de crise – Créé le 11 mars dernier sur volonté du président de la République, un comité scientifique composé de 11 experts, chercheurs et professionnels de santé a été mis sur pied. Sa mission, expliquait un communiqué du ministère des Solidarités et de la Santé, est « d’éclairer la décision publique dans la gestion de la situation sanitaire liée au coronavirus ». Le comité, présidé par le Pr. Jean-François Delfraissy (immunologiste et président du Comité consultatif national d’éthique), est composé au total de 11 experts, médecins et chercheurs.Les membres du comité qu’il dirige sont majoritairement des experts en épidémiologie et en infectiologie. Ils « ont été choisis pour leur expertise reconnue sur le sujet, dans une approche multidisciplinaire ». Denis Malvy est spécialiste des maladies tropicales à Bordeaux, Didier Raoult a mené le premier test clinique à l’hydroxychloroquine contre le coronavirus à Marseille et Yazdan Yazdanpanah est chef du service des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital Bichat de Paris. Le comité comprend aussi le virologue Bruno Lina, directeur du Centre national de référence de la grippe à Lyon, l’épidémiologiste de l’Institut Pasteur Arnaud Fontanet, Lila Bouadma, médecin spécialisée en réanimation, et le médecin de ville Pierre-Louis Druais, fondateur du Collège de la médecine générale. Il y a aussi un épidémiologiste modélisateur, Simon Cauchemez. Enfin, deux chercheurs en sciences sociales viennent compléter cette équipe et lui apporter une touche « interdisciplinaire » : l’anthropologue Laetitia Atlani-Duault, qui a fait une thèse sur la prévention du VIH, et le sociologue Daniel Benamouzig, spécialisé en politique et économie de la santé.
    • Mini-interview – Sur la base des résultats obtenus auprès des patients inclus dans sa première étude clinique, Didier Raoult suggère que les autorités sanitaires changent de stratégie au profit d’un scénario « à la coréenne ».
    Qu’est-ce que la Corée-du-Sud a fait de différent par rapport à la France pour endiguer l’épidémie ?
    Ils ont choisi de tester massivement leur population et de mettre à l’isolement uniquement les personnes porteuses du virus. Jusqu’à présent, cela leur a permis de maîtriser la progression du virus sans confiner tout le monde. Il faut rester prudent car nous n’avons pas beaucoup de recul, mais il est certain que tester comme ils l’ont fait, ça coûte in fine beaucoup moins cher que de mettre toute l’économie du pays à l’arrêt.
    A-t-on la capacité technique de faire des tests massifs en France ?
    Ce n’est pas un problème technique ni un problème médical. C’est seulement une question de choix stratégique et d’organisation. Si nous voulions, nous pourrions mettre en place des tests massifs assez rapidement.
    Les traitements avec lesquels vous avez obtenu des résultats encourageants peuvent-ils être généralisés rapidement ?
    Les deux molécules que nous utilisons sont connues, peu chères et faciles à produire. Sanofi a proposé 300 000 doses d’hydroxychloroquine (Plaquenil ou Nivaquine sont ses noms commerciaux, ndlr) aux autorités françaises pour ce traitement. D’autres essais conduits par d’autres équipes vont avoir lieu. Je suis assez confiant sur les résultats qu’elles obtiendront.

    • Information – Didier Raoult va tous les jours sur le site du South China Morning Star qui offre, selon lui la meilleure synthèse de l’actualité mondiale concernant le covid 19.
    • Bibliothèque – (1) Entre autres ouvrage : « Dépasser Darwin » (Plon – 2010), « Votre santé : Tous les mensonges qu’on vous raconte et comment la science vous aide à y voir clair » (Michel Lafon – 2015), « Arrêtons d’avoir peur ! » (Michel Lafon – 2016), « Mieux vaut guérir que prédire » (Michel Lafon – 2017), « La vérité sur les vaccins : tout ce que vous devez savoir pour faire le bon choix » (Michel Lafon – 2018)
    (2) Institut national de la santé et de la recherche médicale.
    (3) Centre national de la recherche scientifique.

    Une info supplémentaire: Le laboratoire suisse Novartis s’est dit prêt vendredi à offrir jusqu’à 130 millions de doses de chloroquine, un traitement contre le paludisme potentiellement efficace dans la lutte contre le nouveau coronavirus. Dans un communiqué le groupe pharmaceutique a annoncé «son engagement à fournir jusqu’à 130 millions de doses de 200 mg d’ici la fin mai « quand les autorités de régulation auront donné leur accord pour son utilisation au profit de patients infectés par le Covid-19».

    « Les français meurent en attendant que les autorités de régulation aient données les autorisations d’utilisation du traitement à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine qui vient de faire ses preuves avec les soins au Maire de Nice Christian Estrosi et à sa femme Laura, ainsi qu’à la Députée des Bouches du Rhône Valérie Boyer par le Pr Didier Raoult !!!!! »

    « Autorisation en attente » parce que Mr Levy, mari de l’ancienne ministre de la santé Mme Agnès Buzyin, est directeur de l’INSERM qui est en concurrence directe avec le traitement du Pr Raoult et propose une molécule qui ne fonctionne pas ! Idem pour le CNRS ! Donc le Pr Raoult empêche l’INSERM et le CNRS d’accéder au gâteau du Coronavirus…. »

    Chère Mme Liliane Held Khawam, j’ai beaucoup d’admiration pour votre travail et pour vos livres, puis-je vous demander de tout faire pour interviewer ce Mr Levy directeur de l’INSERM et aussi, si c’est possible le directeur du CNRS ?

    Bien à vous,

    gmtmistral

  18. Bravo Liliane pour vous ecrits ,
    Je vous suits reconnaissante de vous lire et relire
    Fourzali Claude

  19. Je reposte cette video car c’est une véritable bombe. Dès début mars, on apprend que le gouvernement Macron, les préfectures, le MEDEF et les présidents de région en France ont été contactés pour bénéficier d’un envoi de masques FFP2, de tests et de gel désinfectant sous forme de kits venant de Chine avec la possibilité d’en fournir entre 1 à 10 millions en une semaine. Ceux ci auraient pu déjà bénéficier au personnel soignant mais aussi aux salariés en entreprise puis au reste de la population. Et devinez quoi ? Aucune des autorités françaises contactées n’a jamais répondu ! Donc rien n’a été envoyé !

    https://echelledejacob.blogspot.com/2020/03/scandale-sanitaire-la-chine-pouvait.html

  20. Pingback: Plus vous cherchez à comprendre l’affaire du traitement du Coronavirus, et plus vous décelez des éléments pour le moins troublants. – INFORMATIONS SANS LANGUE DE BOIS!

  21. https://www.marianne.net/politique/didier-raoult-et-le-milieu-medical-parisien-histoire-d-une-detestation-reciproque

    La lutte pour le contrôle des IHU, de Yves Lévy (mari d’Agnès Buzyn) alors en charge de L’INSERM, qui provoqua le 6 Octobre 2017, la démission du neurologue suisse Richard Frackowiak, président du jury international des IHU.

    A lire pour comprendre les enjeux cachés du combat du Pr Didier Raoult contre l’INSERM et le CNRS…

    https://www.marianne.net/debattons/billets/coronavirus-apres-la-crise-le-gouvernement-devra-s-effacer-et-rendre-des-comptes

    Qui devra payer pour les morts dût aux cafouillages politiciens d’un état français menteur et immoral ?

  22. Pingback: La République des amateurs – Salimsellami's Blog

  23. Ils ne savent plus quoi faire, ces médecins, pour faire plaisir aux bigfarmas.
    Je ne suis pas vacciné et je me suis soigné aux antibiotiques et en 3 jours tout était terminé.
    C’est une simple grippe et j’ai agis comme dans le monde d’avant (doliprane + antibiotiques).

    Sanofi propose un médicament « pas trés couteux », Les big farmas vont essayer de lutter contre et si ca ne marche pas, les bigfarmas vont racheter Sanofi et interdire la vente du « pas trés couteux ».

    Quand le scandale va exploser, ca va faire trés trés mal.
    Ca va être pire que le sang contaminé + le médiator.
    Rappel : Chaque rappel de dose, au niveau mondiale, fait gagner 34 milliards aux actionnaires des Bigfarmas (bruit de la caisse enregistreuse). Donc les bigfarmas ont intérêt à ce que ce système de dose NE S’ARRÊTE PAS.

  24. Pingback: L’OMS veut diriger les Politiques de « Santé » dans tous les pays du Monde ! Or on découvre que la France a signé de troublants accords avec l’OMS, en …. décembre 2019 ! – L'Informateur.

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