(MàJ)Pourquoi la théorie du réchauffement climatique doit nous faire rire…Pr. Istvan Marko

EntIstván E. Markó, ( en Hongrie. Il fut professeur et chercheur en chimie organique à l’université catholique de Louvain (Belgique).

 

Intervention du Pr Istvan Marko, docteur en chimie et professeur à l’Université catholique de Louvain (UCL), lors de la réunion d’Agora Erasmus  à Bruxelles.

Extraits du matériel de la conférence

Corrélation température CO2.PNG

Le  CO2 suit les températures.PNG

Mise-à-jour

Un lecteur m’a fait parvenir le document: ’Climat: 15 vérités qui dérangent’, d’Alexis Merlaud Institut d’Aéronomie Spatiale de Belgique27 mars 2018. https://arxiv.org/pdf/1404.1783.pdf

Il s’agit là de 15 points qui combattent l’argumentaire du Pr Marko. Ce dernier étant décédé en 2017, ces points laisseront la porte ouverte aux interrogations. LHK

A lire aussi:

https://www.lepoint.fr/postillon/tribune-pourquoi-les-affirmations-catastrophistes-sur-le-climat-sont-fausses-09-12-2019-2352107_3961.php?fbclid=IwAR3Rhubl-8mFLGqvOuwwaZKBmnDU-1VIOCVKKkn41iK5iQR1pmOfTQqI5IM

13 réflexions sur “(MàJ)Pourquoi la théorie du réchauffement climatique doit nous faire rire…Pr. Istvan Marko

  1. Si le CO2 est un point sur lequel on focalise, que penser de l’épuisement des ressources? Cette vidéo climatosceptique ou même climatonégationniste datant de 2015, quelqu’un aurait-il connaissance de réponses à cette présentation?
    A mon sens, le DD est clairement loin de l’écologie radicale! Cette dernière vise simplement la sauvegarde de la vie sur terre. Or le DD tient très largement compte de l’aspect économique (ou plutôt financier). J’entends par là que je ne privilégierais jamais l’ingénierie pour stocker le CO2. Par contre, favoriser le stockage dans la biomasse me semble judicieux, tout comme limiter l’utilisation des énergies fossiles (dont le stock n’est à l’évidence pas inépuisable)

  2. Je ne peux que vous encourager à lire Coup d’Etat planétaire. J’y traite longuement du Développement Durable (ce que vous appelez DD?).

  3. Concernant les données climatiques et leur interprétation je n’ai rien à dire. Il faut des spécialistes du domaine pour évaluer. Sa logique semble bien étayée. Pour autant mon expérience me dit de me méfier des données partielles.
    Par contre le mélange écologistes, capitalistes, développement durable, économie, .. montre une méconnaissance abyssale du paysage politico-économique.
    On comprend la tentation de trouver des coupables, de s’insurger des déclaration fantaisistes mais ici c’est trop mauvais.
    Car enfin prendre la propagande politique pour ce qu’elle n’est pas est proprement déconcertant chez cette personne raisonnable.
    Un politique est un attrape-tout et ne rechigne pas à dire n’importe-quoi du moment qu’il croit défendre ses objectifs.

  4. Décroissance ayant une connotation négative, avec effet répulsif et «  développement durable » (pas très heureux dès le départ) étant encore moins réaliste 41 ans après le livre « Our common future » et son « sustainable development », je propose

    « évolution soutenable »

    par des femmes et des hommes contradictoirement informés ne manquant pour autant pas d’R, et à la limite préférant mourir debout ……. que devant un match de foot ou de tout autre sport anesthésiant.

    Tout ce qui est durable n’est pas soutenable et surtout pas la c … bêtise .

  5. C’est marrant cette propension de certaines personnes à mettre systématiquement en doute les dires de ceux qui ne sont pas dans le trend. Tel le terme: climatonégationniste !! C’est ahurissant. Comment débattre d’un dogme qu’on nous impose si les arguments qui sont contraires sont irrémédiablement mis en doute illico. Ce que ce monsieur explique est connu et très répandu dans les milieux qui ne sont pas grassement subventionnés par les instituts supra-nationaux. Aucune surprise dans cet exposé. Tout le monde devrait se renseigner et s’informer ailleurs que dans les médias officiels et la situation serait plus apaisée au lieu de prendre part à l’hystérie collective entretenue par des Vers en manque d’électorat.

  6. Je pense que les scientifiques ont probablement raison dans le réchauffement climatique. Mais ce qui me gêne c’est la réaction hystérique des média après une longue période catatonique, comme une sorte d’une phase finale (de bien-être) avant un suicide. À mon avis on a plus les moyens politiques, ni économiques pour appliquer les changements voulut. J’ai l’impression d’une hypocrisie sans nom des politiques.

    Il faut regarder le temps qu’il a fallut pour réglé les problèmes des CFC qui n’avaient pas un impacte majeur sur l’économie (si je ne me trompe pas ~25 ans). Donc, de façon non pessimiste on peut déjà dire que l’on arrivera jamais. Il nous reste plus qu’à trouver des moyens de vivre avec.

    De plus, il y a aussi d’autre choses importantes à parler comme la pollution d’autre type. Mais aussi l’économie, les retraites, la vie privé,… Qui ont été complètement occulté par le CO2 que l’on sait pertinemment que l’on y parviendra pas.

    Les USA, Chine, Australie, Russie, Inde sont ceux qui ont les plus grandes réserves de charbons et sont dans leurs orientations politiques pollueurs et cela ne va probablement pas changer. Le pétrole « bon marché » devraient atteindre un pic (plateau) en ~2025 (selon AIE) et le gaz quelque années plus tard, donc la question du charbon reviendra (surtout avec la voiture électrique dont on a pas assez de Lithium pour remplacer tout le parque automobile). Bon l’Iran dit qu’ils ont trouvé un gros puits de pétrole mais faut voire dans quelque années qu’en est-il vraiment mais cela ne peut retarder l’avènement du pic que de quelque années.

    De plus pour l’instant tout (ou presque) les panneaux solaire (éolienne et bientôt voiture électrique) sont fait en Chine en extrayant des métaux rare ultra polluant avec des machine consommatrice de pétrole, fabriqué par des gens sous-payés. Et ce que le solaire aura le même prix quand les gens seront payé correctement et fait avec une énergie non liée au pétrole ? mon avis est non, c’est juste une illusion. Dès lors on ne peut plus avoir une société comme la notre si on ne brûle pas le charbon (avec le pétrole restant) ou on ne fait pas massivement du nucléaire (ce que fait la Chine).

    Après si on se permet de consommer plus modestement (moins d’énergie) c’est la fin de la globalisation (liée aux transports des personnes et marchandises) et aussi de la croissance. Ainsi le modèle économique sur le qu’elle le système économique en entier repose s’effondre (état providence et intégrité entre personne car l’individualisme ne marche quand période d’expansion économique)

  7. Jake, vous dites « Ainsi le modèle économique sur le qu’elle le système économique en entier repose s’effondre », selon mes observations (Coup d’Etat planétaire), ce modèle s’achève par un accaparement et une collectivisation des ressources et des processus globaux de production.
    La phase suivante consiste à mettre en place un nouveau monde totalement différent du précédent. La globalisation n’est alors maintenue que par les pilotes du système et surtout par la multitude d’interactions dématérialisées. Le reste de l’humanité verra sa mobilité fortement réduite.

  8. Je suis toujours très étonné de voir le nombre de gens qui pensent que l’espèce humaine peut avoir une quelconque influence sur le climat. C’est l’apologie de l’homme-dieu et d’un orgueil insensé. Tout le monde est d’accord de tenter de réduire notre influence sur notre environnement direct pour garder une certaine qualité de vie, mais de là à faire changer les saisons et les températures, il y a un gouffre. Qui sait quelle est la quantité d’énergie que le soleil a déversé sur notre planète en relation avec ce que nous produisons ?

  9. merci d’ avoir posté cet article sur l’ analyse du prof Marko que je ne connaissais pas.
    J’ adhère entièrement. La dernière partie pourrait être complétée.

  10. @LHK
    Malheureusement, je suis tout à fait d’accord avec votre analyse sur le résultat final du système.

    Je me permet de clarifier ma pensée sur le climat.

    En terme d’écologie j’aimerais revenir que vue les intérêts des deux cotés, il est difficile d’être convaincu d’une doctrine ou d’une autre.

    Car il est impossible d’avoir un débat honnête et donc d’avoir un consensus vraiment honnête qui est le seul moyen de valider une hypothèse. Il me semble que les deux collectifs (les sceptiques et les convaincues) mentent (bien qu’un individu peut être honnête, il peut se tromper). Un problème similaire avec les OGMs avec des études et des contre-études, cependant sachant que la firme qui était à la base militaire et qui a empoisonnée des millions de gens au Vietnam (et sur des générations) et dans le désastre financier ils mettent les agricultures dans les pays (fusionné avec une entreprise qui a collaboré pendant l’heure la plus sombre de l’histoire occidental), je suis convaincu qu’ils mentent sur leurs études. Le problème de l’écologie est que cela n’est pas si binaire, les deux cotés sont corrompus…

    Mais je suis malgré convaincu que toute civilisations qui ont trop usé de leurs ressources se sont effondrés (crée des déserts par la déforestation,…). Donc une influence des gens sur le climat me paraît fort probable.

    Par contre, je suis sceptique sur les prévisions ou les l’importance imputable à l’homme qui ont toujours été alarmiste par certain et dés que l’on défends une cause on est presque toujours dans l’excès sinon personne ne bouge. Je pense que le problème est important mais de loin pas le plus important. Par exemple si on protégeait la dignité humaine on importerait beaucoup moins de produit fait par des gens (ou enfants) exploité et sa irait de conjoint avec l’écologie et il me semble que ce combat vaut plus que juste l’écologie (perverti pour servir certain entrepreneur).

    Des études ont montré que la misère économique a un impacte très négatif sur le climat. J’ai plutôt l’impression que les problèmes climatiques sont plutôt les symptômes d’une société malade et inhumaine. Et qu’il serait plutôt judicieux de traiter les causes que les effets.

  11. Jake, Vous dites « Par exemple si on protégeait la dignité humaine on importerait beaucoup moins de produit fait par des gens (ou enfants) exploité et sa irait de conjoint avec l’écologie et il me semble que ce combat vaut plus que juste l’écologie (perverti pour servir certain entrepreneur). » Mes observations m’amènent à un constat simple: il y a d’une part des faits observables et de l’autre leurs pendants informationnels destinés au grand public. Je n’ai rien relevé de consistant, vu l’ampleur de la restructuration de la planète, qui concernerait le respect de l’humanité, ou même de la planète.
    Le concept de Développement Durable qui laisse sous-entendre un respect de la vie porte en lui le maintien de la croissance et de la pollution à condition de reculer (grâce à la technologie) les limites de la biosphère. En revanche, les individus n’auront plus le droit de polluer si cela devait répondre à des besoins personnels. Progressivement l’individu mute en ressource humaine.
    J’oserais même extrapoler en disant que plus j’avance dans mes travaux, plus j’ai le sentiment que c’est la Vie entière qui est au service de la production, du commerce et de la consommation. Pas de place donc ni pour une dignité, ni pour une identité…

  12. Pingback: Le réchauffement climatique (8/16) – Gilbert Wane

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