3 réflexions sur “Globalisation: l’enjeu de l’éducation des jeunes. Pape François

  1. Ce « pape » ne s’occupe ni des chrétiens du Moyen-Orient, ni de la propagation de la foi chrétienne, et passe son temps à fustiger les catholiques qui aimeraient le rester et à marginaliser les derniers évêques héroïques qui les défendent encore. Seules comptent pour lui les idéologies planétariennes du projet luciférien de l’homme nouveau. Il n’a pas compris (et s’il l’a compris c’est vraiment très grave) que la mission de l’Église n’est pas de transformer le monde par « en-bas », mais de le transfigurer par « en-haut ». Et là il nous annonce un nouveau projet éducationnel, avec la participation de tout ce que la société compte de phalanges humanistes, discours globalisant à la clé. Tout cela est dégoulinant, je dirais même pavé de bonnes intentions.
    Exit le Christ-Dieu divinisant l’homme, vive l’homme autogène, responsable par lui-même et en lui-même, qui instrumentalise Dieu. Essayons donc de dénicher la moindre référence théologique dans ce laïus insipide. Même la splendide et solide doctrine sociale de l’Église catholique n’est pas évoquée à un seul instant, ni explicitement, ni implicitement. Elle est seulement complètement détournée et inversée. C’est une ruse incroyable que l’inversion maligne.
    Les objectifs de paix et de coexistence sociale sont ici fondés en eux-mêmes, et non sur le Christ. La démarche est inversée, car la paix véritable ne s’obtient qu’en marchant sur le voies du Christ, alors qu’ici, c’est la paix (même entre les religions) qui se propose de fonder un nouveau Christ, qui ne peut être que l’anti-Christ. La prophétie d’Isaïe (Is 2, 2-5) est donc renversée. Ce n’est plus le peuple qui marche vers la montagne du Seigneur pour qu’Il les instruise de ses voies, c’est le peuple qui bâtit une montagne pour forger un paradigme démiurgique.
    Nous avons là tout le pathos pseudo-chrétien de la postmodernité socialisante, sous des dehors paternalistes, bienveillants, et tellement séduisants.
    Je plains sincèrement les pauvres inconditionnels de l’infaillibilité qui se laisseront berner par ces paroles déliquescentes et creuses, mais le diable se rit déjà de ceux qui se plaindront demain des problèmes sans solution qu’ils ont laissé croître par leur propre insouciance, lâcheté, ignorance, et même, participation volontariste et imbécile.
    (imbécile : de « in baculum », sans bâton, sans appui, sans référence …chrétienne bien entendu…).
    Pierre Dimitri Mottier

  2. Ce n’est pas une question de manque de compétence. Ce n’est pas de SA compétence.
    Il ne fait pas le boulot du pape, il fait le boulot de quelqu’un d’autre.
    Il prévarique car il appartient à quelqu’un d’autre.
    Alterius non sit qui suus esse potest.

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