« Les cas d’études sélectionnés ont un point commun. Sont concernées les sociétés qui ont disparu pour avoir, notamment, épuisé leur environnement naturel. En déboisant à outrance, en appauvrissant les sols, en ponctionnant drastiquement sur la faune et la flore, les hommes de ces sociétés ont fini par saper les bases mêmes de leurs activités de survie. Et l’ouvrage nous fait ainsi passer des habitants de l’île de Pâques aux Vikings du Groenland, en s’arrêtant aussi à l’empire Maya ou aux Anasazis d’Amérique. »https://journals.openedition.org/developpementdurable/2958
La version proposée « épuisement des ressources naturelles » n’est pas satisfaisante. Les humains forment des cultes totalitaires, acceptent l’oppression, collaborent à des politiques génocidaires et suicidaires. Nous observons cela aujourd’hui dans les pays avec une population Européenne. Mais cela a aussi été le cas dans le passé et dans d’autres sociétés. Des sacrifices humains chez Inca et chez d’autres cultures en Amérique, des religions totalitaires, cruelles; le cannibalismes chez les primitifs. L’espèce humaine n’est pas viable.
Un soupcon de crainte, d’amusement, de promesse peut-être, mais surtout beaucoup d’incompétence et de compromission :
https://www.bastamag.net/Climat-chute-de-la-biodiversite-pollutions-de-l-air-glyphosate-pour-Nicolas
Rien d’étonnant, les produits Ushuaia avaient déjà été épinglés pour leur nocivité (sauf pour le porte-monnaie du ministre) :
https://www.challenges.fr/politique/shampoings-ushuaia-la-machine-a-cash-de-nicolas-hulot-dans-le-viseur-du-canard-enchaine_485239
Recouvrir la plaie de sparadraps ne suffira pas à la soigner, encore faut-il retirer le couteau planté (idéologie néolibérale) et la nettoyer correctement.