« Après avoir usé et abusé d’un faux libéralisme, la réorganisation sociétale semble promettre de ressusciter le modèle soviétique, au profit de privés cette fois. » Coup d'Etat planétaire
4 réflexions sur “L’année 2017 vue par Philippe Béchade. Interview”
Merci. Très bon interview, très intéressante notamment sur l’analyse des perspectives de change et la parité EUR/ USD. Il y a effectivement un hiatus entre le dollar « fort » et les scénarii qui découlent des politiques que veut mener Trump. Même l’hypothèse d’une poursuite des politiques coopératives voudrait que la FED prenne le relai de la BCE qui a fait sa part du « job »… et je ne parle pas de l’hypothèse d’une politique unilatérale des US, très possible avec Trump. la balance des paiements de la zone euro est globalement positive à hauteur de 3 % du PIB quand elle est négative à hauteur de 2 % aux US alors que Trump n’a pas encore mis en place son programme dépensier… cherchez l’erreur. A moins que le pire (pour les marchés) n’arrivent en Europe, je ne vois pas comment le dollar pourrait s’apprécier davantage.
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Par la volonté de globaliser Seb.
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Liliane, même dans cette hypothèse, on arrive à des intérêts contradictoires à court moyen termes… la bourse US est au plus haut et le dollar fort ne permet pas une croissance des profits justifiant ne serait-ce qu’un maintien sur ces niveaux, surtout dans un contexte de remontée des taux. Franchement Trump est pro-business et n’hésitera pas à laisser filer le dollar surtout si ces amis de Wall Street le lui demande.
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A suivre Seb. Risque de le voir monter encore. Les entreprises globales US se trouvent avec de puissants atouts pour investir à l’étranger tout en étant dotées de fortes capitalisations boursières… Mon raisonnement je le place au niveau investissement plus qu’au niveau de la marge bénéficiaire opérationnelle. (Attention, c’est à la fin peut-être vous qui avez raison!).
Merci. Très bon interview, très intéressante notamment sur l’analyse des perspectives de change et la parité EUR/ USD. Il y a effectivement un hiatus entre le dollar « fort » et les scénarii qui découlent des politiques que veut mener Trump. Même l’hypothèse d’une poursuite des politiques coopératives voudrait que la FED prenne le relai de la BCE qui a fait sa part du « job »… et je ne parle pas de l’hypothèse d’une politique unilatérale des US, très possible avec Trump. la balance des paiements de la zone euro est globalement positive à hauteur de 3 % du PIB quand elle est négative à hauteur de 2 % aux US alors que Trump n’a pas encore mis en place son programme dépensier… cherchez l’erreur. A moins que le pire (pour les marchés) n’arrivent en Europe, je ne vois pas comment le dollar pourrait s’apprécier davantage.
Par la volonté de globaliser Seb.
Liliane, même dans cette hypothèse, on arrive à des intérêts contradictoires à court moyen termes… la bourse US est au plus haut et le dollar fort ne permet pas une croissance des profits justifiant ne serait-ce qu’un maintien sur ces niveaux, surtout dans un contexte de remontée des taux. Franchement Trump est pro-business et n’hésitera pas à laisser filer le dollar surtout si ces amis de Wall Street le lui demande.
A suivre Seb. Risque de le voir monter encore. Les entreprises globales US se trouvent avec de puissants atouts pour investir à l’étranger tout en étant dotées de fortes capitalisations boursières… Mon raisonnement je le place au niveau investissement plus qu’au niveau de la marge bénéficiaire opérationnelle. (Attention, c’est à la fin peut-être vous qui avez raison!).